2008-08-31

Ganesh chaturti

Normalement le jour du ganesh Chaturthi est le 3/09 , c'est l'une des fêtes les plus sacrée de l'hindouisme, celle de l'anniversaire du Dieu à tête d'éléphant Ganesh.



Mais à Paris cela a été célébré le 31 août

Donc Ganesh est le fils de Shiva et Parvati, Ganesh - ou Ganpati - est le dieu de la sagesse et de l'éducation, vénéré par tous. Plusieurs histoires expliquent comment sa tête s'est retrouvée être celle d'un éléphant. Dans la version la plus commune, Parvati se sentant trop seule a conçu un être à base de poussières et d'onguent. Lorsque la déesse prît un bain, elle demanda à son fils de garder la porte pour que personne ne puisse rentrer.Quand Shiva, époux de Parvati, rentra de son week-end de méditation dans les montagnes, un homme qu'il ne connaissait pas l'empêcha de rejoindre sa déesse. Sans plus de négociation, Shiva lui coupa alors la tête. Après avoir appris que l'homme étant en fait son propre fils (bien que conçu sans lui), Shiva demanda qu'on lui rapporte une tête, la première venue. Ce fût celle d'un éléphant qui lui a été rapportée - laquelle fût rattachée au corps de Ganesh.

Le festival de Ganesh dure une dizaine de jours, il est célébré entre la fin du mois d'Août et le début de Septembre. Pendant cette période chaque famille accueille dans sa maison une effigie qu'elle vénerera par des sucreries, des décorations en tout genre, des fleurs. C'est aussi l'occasion d'offrir des friandises aux voisins et aux proches. C'est à la fin du festival -Ganesh Visarjan- que les effigies seront immergées, en petits comités ou dans les foules compactes sur une des plages principales de Mumbai.

2008-08-27

Adoption au JT / evening news short subject abt adoption

C'était ce soir a JT de 20h, résumé des grandes lignes des réformes envisagées pour l'adoption nationale et internationale, reportage sur l'adoption en Inde avec interview d'un couple des USA adoptant une petite fille de 2 ans aveugle et breve interview de Moushette / It was this evening at the 8pm news, sum of the mains reforms the gvt is planning to implement for domestic and intercountry adoptions, report on adoption in India with an interview of a US couple adopting a 2-year-old girl who is blind and a very short interview of Moushette.

http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,4058197,00-l-inde-se-mefie-de-ces-etrangers-qui-souhaitent-adopter-.html

2008-08-20

comme un grand "même pas pleuré" / as a big boy "'didn't cry"

Ce jour fût le 1er a-midi de Rohan chez sa nounou et tout s'est bien passé Rohan n'a pas pleuré ni au moment de dire "bye bye" ni dans la journée à part au moment de la sieste car ce n'est pas son lit. / Today was Rohan's 1st mid-day at his nanny's place and everything went fine Rohan did not cry neither at the time of saying "bye bye" nor during the afternoon except at nap time as that bed isn't his own bed!

Pour ma "petite" soeur Alexandra !

Même si l'image ci dessous est un peu floue, je te rassure le compte de bougies y est... enfin presque...
Allez BON ANNIVERSAIRE !

2008-08-11

GPA en Inde - adoption / surrogacy in India - adoption

Histoire d'une petite puce née le 25 juillet 2008 d'une mère porteuse indienne (Gestation Par Autrui = GPA) et de parents japonnais ayant divorcés peu avant sa naissance. La mère bio ne veut plus adopter sa fille alors que le papa bio veut mais la loi indienne sur l'adoption ne permet cette "option" !!! Conséquence, la petite est pour l'instant considérée comme "abandonnée". Ci dessous qqs articles (en anglais) parus sur le net ces derniers jours. Cliquer sur les quelques liens si-dessous:

Story of a baby born on July 25th, 2008 of an Indian surrogate mother and of japonnais parents who had divorced a little bit before her birth. The bio mother no longer wants to adopt her "daughter" and the bio dad wants but the Indian law on the adoption doesn't allow this "option"!!! Consequence, the girl is considered at the moment as "abandoned". Here under articles (in English) which appeared on internet during these last days:

http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/india/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html

http://www.wtop.com/?nid=105&sid=1455033

http://www.divorcediva.co.uk/20080806/surrogate-japanese-baby-left-homeless-through-indian-law/
/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html

Pour Kylian

Déjà 6 ans, que tu grandis vite !


Et plein de gros bisous...

2008-08-07

Trisha... son audition / Trisha's hearing

Lors de son dernier audiogramme Trisha montre bien un déficit auditif mais l'ORL veut faire faire des tests complémentaires auprès des spécialistes de bordeaux en audiométrie mais elle n'échappera pas à l'appareil auditif ! Donc RDV Bordeaux 9/10. / During her last audiogram Trisha showed a hearing deficit but the ENT wants her to undergo additional tests with the specialists in audiometry in Bordeaux but it will not avoid the hearing aid! Thus appointment in Bordeaux on 9thOct.

2008-08-04

Inde : mères porteuses

NEW DELHI CORRESPONDANCE
"Accepterais-tu de prêter ton ventre à un couple d'Américains ?", a demandé Rajesh à sa femme, un beau matin, dans leur petite maison située dans un village du Bihar, une des régions les plus pauvres d'Inde. Puja crut d'abord à une plaisanterie. "Comment veux-tu que j'accouche d'un bébé blond aux yeux bleus ?", lui a-t-elle répondu en ricanant. "Désormais, la technologie peut faire naître un bébé à partir de n'importe quel ventre", rétorqua son mari. Quelques jours auparavant, cet infirmier venait de lire dans le journal cette petite annonce d'une clinique de New Delhi : "Couples étrangers cherchent mères porteuses." Grâce à la technique de la gestation pour autrui, l'embryon conçu par un couple peut être implanté dans l'utérus d'une femme chargée de mener la grossesse à terme. En Inde, 3 000 maternités offriraient ce service. Le pays est l'un des rares à en autoriser la pratique commerciale. Choquée à l'idée que "la technologie puisse mettre au monde des enfants", Puja hésita. Avait-elle le droit de refuser ? Lourdement endetté, le couple pouvait difficilement renoncer aux 2 500 euros offerts par la clinique. Invoquant le mythe du conte épique indien Ramayana, Rajesh rappela à sa femme ses devoirs : "Lorsque le dieu Rama a dû se réfugier, seul, dans la forêt, pendant quatorze ans, Sita a bravé tous les dangers pour le rejoindre et remplir son devoir d'épouse." Quelques semaines plus tard, Puja et son époux partirent s'installer avec leurs enfants à New Delhi.
La famille occupe désormais un deux-pièces exigu, loué 60 euros par mois, dans la lointaine banlieue de Delhi, où les maisons de brique, construites à la hâte, battent en brèche les derniers remparts de végétation. C'est la première fois que Puja vit loin de son village. A 24 ans, celle qui a déjà accouché de deux enfants portera bientôt l'embryon d'un couple de producteurs de cinéma d'Hollywood. "Le Bollywood des Etats-Unis", s'exclame Rajesh, qui aimerait vaincre les dernières réticences de son épouse. Le couple recevra près de 130 euros par mois de grossesse et 1 000 euros à l'accouchement. Toutes les semaines, ils ont rendez-vous chez le docteur Gupta pour des tests médicaux.
En plein coeur de New Delhi, la clinique se repère facilement grâce à sa pancarte, "Lieu de naissance de la joie", et aux dizaines de sandales entassées au pied de l'escalier. Dans la salle d'attente, les patients, pieds nus, ne quittent pas des yeux la comédie romantique diffusée à la télévision. Ici, les ovules et les spermatozoïdes font l'objet d'une attention particulière. "Vous êtes priés de ne pas utiliser de parfum, ni de lotion après rasage. Ces odeurs sont mauvaises pour les ovules et les spermatozoïdes", avertit une pancarte, placée à côté de Ganesh, dieu de la prospérité.
Le docteur Gupta est un "spécialiste de la fertilité", comme l'indique sa carte de visite. Chaque mois, il reçoit, trente demandes de couples étrangers. "Ici, les femmes ne trompent pas leur mari. Elles ne boivent pas d'alcool, ne fument pas et ne se droguent pas. Elles sont en excellente santé", affirme le docteur. Face à lui, Puja, le visage creusé par les cernes, a les mains crispées sur le tissu bleu de son sari. Elle doit attendre encore quelques semaines avant de recevoir l'embryon du couple américain, le temps de terminer l'allaitement de son dernier enfant, âgé seulement de 8 mois. Le docteur Gupta tente de la rassurer : "Nous avons en Inde les mêmes technologies qu'en Occident et nous sommes aussi compétents."
Après l'informatique, les grossesses se délocalisent en Inde. L'opération, qui peut coûter en Inde jusqu'à 20 000 dollars (13 000 euros environ), est cinq fois moins chère qu'aux Etats-Unis. Des agences se sont même créées dans le but de recruter des mères porteuses. A Anand, une petite ville de l'ouest de l'Inde, une clinique a construit une résidence pour loger, durant leur grossesse, les mères, qui ont la possibilité de suivre des cours d'anglais et d'informatique. Pour porter le bébé d'un couple étranger, rien n'est plus simple. La "clinique de la fertilité", à Bombay, propose sur son site Internet un formulaire de candidature. La postulante doit avoir eu au moins un enfant et répondre à une série de questions, dont celle-ci : "Dans le cas d'une malformation, accepteriez-vous un avortement ?"
Les demandes de couples étrangers auraient quadruplé l'année dernière. En l'absence de régulation, ce nouveau "marché", évalué à 450 millions de dollars (près de 290 millions d'euros), est en pleine croissance. La seule protection juridique à laquelle peut prétendre Puja tient dans les quelques pages de son contrat signé avec le couple américain. L'essentiel concerne le mode de rémunération. En cas d'accident ou de malformation du bébé, les clauses restent allusives. En Inde, les seules directives, données par le Conseil de recherche médicale indien, un organisme public de recherche, sont jugées insuffisantes par les défenseurs des droits des femmes. La section 3.10 recommande, par exemple, que l'âge maximum légal soit fixé à 45 ans. L'âge minimum légal n'est même pas mentionné.
"Et si la mère meurt à la naissance ?", s'interroge Bhavana Kumar, coordinatrice au Conseil national des femmes. "En l'absence de loi, les mères porteuses s'exposent à tous les dangers", conclut-elle. En Inde, la pratique de la maternité par substitution n'est pas nouvelle. "Il arrivait qu'une femme porte l'enfant de sa soeur, stérile. Mais on restait dans le cadre familial. Désormais, le corps peut être exploité commercialement. C'est la porte ouverte à tous les abus", avertit le docteur Girija Viyas, la présidente de la Commission nationale des femmes. Récemment, la commission nationale a recueilli le témoignage d'une femme qui, après avoir accouché sept ou huit fois, aurait rencontré de sérieux problèmes de santé.
Le 25 juin, la ministre indienne des femmes et de la protection de l'enfance, Renuka Chowdhury, a promis le vote d'une loi au cours des dix prochains mois. Il n'est pas question d'interdire la pratique commerciale, mais de mieux la réguler. "Nous ne voulons pas que la maternité par substitution devienne un commerce d'organe, sans entrave. L'Inde en est devenue un pôle d'attraction à bas coût. Nous devons mettre en place un organisme régulateur", a précisé Mme Chowdhury. La loi devrait prévoir notamment un accompagnement psychologique pour la mère au moment de l'accouchement et une limitation du nombre d'accouchements pour autrui. L'âge légal pour une mère porteuse devrait être compris entre 22 et 45 ans.
Même si une loi est votée, les couples étrangers ne seront pas tout à fait protégés, ajoute le docteur Asha Jaipuria, obstétricienne : "Qu'est ce qui peut garantir aux parents que certains de leurs ovules ou spermatozoïdes ne seront pas conservés pour être ensuite revendus à des mères indiennes désirant avoir un bébé au teint clair ?"
Julien Bouissou
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/08/04/les-meres-porteuses-un-creneau-indien_1080048_3216.html

2008-08-01

Caractère ! / temper!

On me dit râleuse, c'est vrai mais c'est ma soupape. En ce moment on dit que je ne souris pas beaucoup mais la fatigue, le stress, la pression et ma situation au boulot font que je suis un peu renfrognée… Je vous rassure je suis loin d’être comme ça à longueur d’année sauf mon côté râleur ! / I’m said to be a grouser, that’s true but it is my “safety” valve. At the moment I’m not smiling often but the tiredness, stress, pressure and my situation make me a little sullen… I reassure you I am far from being like that all the year round except my grouser side!

L'heure + température / time and weather

Ici à qqpart dans le quart sud ouest - FRANCE / here somewhere in the south west - FRANCE




Là bas à Pune - INDE / There in Pune - INDIA