2008-12-27
Ce que nous redoutions est arrivé / What we dreaded happened
et cette profonde tristesse face à la perte d'un être cher s'abat toujours comme un couperet... Je me sens mal de ne pouvoir être Inde pour soutenir mon mari et notre famille dans cette épreuve./ And this deep sadness when a dear one goes away always comes down as a chopper... I feel sick not to be able to be India to support my husband and our family during this period of mourning.
2008-12-25
Noel pas très joyeux / X'mas not really merry
Repas de noel simple et court, entre nous juste pour attendre l'arrivée du Père Noel pour les enfants car nous les grands n'avions pas vraiment la tête à la fête compte tenu des tristes nouvelles familiales en Inde.../X'mas eve diner simple and short, amongst ourselves just to wait for Santa's delivery for our little darlings as for us adults we were not in the mood of partying in such sad familiy news from India...
2008-12-17
Délégation CARA en France / visit of CARA in France
Enfin une délégation de l'autorité centrale est en visite en France, les choses seront peu-être un peu plus claires pour la MAI/SGAI. Allez voir le blog de Moushette, notre spécialiste, elle en parle http://moushette.blogspot.com/2008/12/appelez-moi-abby-de-ncis.html
2008-12-12
Perdu ? / Lost?
2 jours après avoir été équipée de ses appareils, Trisha m'en a égaré un... le 1er jor d'école avec ses appareils je suis partie du boulot plus tôt pour faire le point avec la maitresse et ensuite, sur conseil de l'audioprothésiste, nous sommes allées acheter du fil de pêche pour les attacher afin d'éviter de les perdre... en sortant du magasin il en manquait un... grosse panique !!! on a fait le tour du , magasin sans succès. Trisha ayant marche quelques metres sur la partie "gazon" du parking j'y ai regardé, et ouf coup de chance il était tombé là et heureusement était intacte... / 2 joudays rs after being equipped with her hearing aids Trisha lost one... 1st days in shool with her hering aids, I left work abit earlier to discuss with her teacher and then, as per advice from the Hearing-aid specialist, we went to buy "fishing thread" to "fix" in order they don't fall. Out of the shop one of them was missing... big panic!! we went back searching for them in the shop without success. As trisha had walked a bit n the lawn part of the car park, I searched there and I found it and fortunately it wasn't damaged...
2008-12-09
Equipée / equipped
Ca y est Trisha a ses appareils auditifs et ne les portent que quelques heures pendant 1 semaine -période d'adaptation-. / Trisha is equipped with her hearing aids and wear them only for a few hours during the 1st week-adaption period-.
2008-12-08
eh ben !
Une jeune maman indienne de 70 ans
le 8/12/2008 à 13h29
Ménopausée depuis une vingtaine d'années, Rajo Devi vient pourtant de donner naissance à son premier enfant. La petite fille, née le 28 novembre dans l'Haryana est en pleine santé et connaît déjà la célébrité. À 70 ans, sa mère est la femme la plus âgée à avoir accouché de son premier enfant, peut-on lire dans le Times of India.
Le précédent record était détenu par une espagnole de 67 ans qui avait mis au monde des jumeaux en 2007, à Barcelone. En juillet 2008, une autre Indienne de 70 ans avait réitèré l'exploit, mais était néanmoins déjà plusieurs fois mère et grand-mère.
Au contraire Rajo Devi et son mari Ram Bala n'avaient jusqu'ici jamais pu, en 55 ans de mariage, concevoir d'enfant. Monsieur a même épousé la jeune soeur de Madame dix ans après leurs noces, en désespoir de cause. Sans résultats.
Grâce à une fécondation in vitro, l'heureux événement est finalement arrivé. Reste à savoir ce que deviendra l'enfant lorsque ses parents septuagénaires seront morts. Ils se veulent rassurants : "L'éducation de l'enfant n'est pas un problème. Nous avons une famille unie comme c'est souvent le cas dans l'Haryana rural" a déclaré le père dans le Times of India.
http://www.aujourdhuilinde.com/informations-inde-une-jeune-maman-indienne-de-ans-2592.asp?1=1
le 8/12/2008 à 13h29
Ménopausée depuis une vingtaine d'années, Rajo Devi vient pourtant de donner naissance à son premier enfant. La petite fille, née le 28 novembre dans l'Haryana est en pleine santé et connaît déjà la célébrité. À 70 ans, sa mère est la femme la plus âgée à avoir accouché de son premier enfant, peut-on lire dans le Times of India.
Le précédent record était détenu par une espagnole de 67 ans qui avait mis au monde des jumeaux en 2007, à Barcelone. En juillet 2008, une autre Indienne de 70 ans avait réitèré l'exploit, mais était néanmoins déjà plusieurs fois mère et grand-mère.
Au contraire Rajo Devi et son mari Ram Bala n'avaient jusqu'ici jamais pu, en 55 ans de mariage, concevoir d'enfant. Monsieur a même épousé la jeune soeur de Madame dix ans après leurs noces, en désespoir de cause. Sans résultats.
Grâce à une fécondation in vitro, l'heureux événement est finalement arrivé. Reste à savoir ce que deviendra l'enfant lorsque ses parents septuagénaires seront morts. Ils se veulent rassurants : "L'éducation de l'enfant n'est pas un problème. Nous avons une famille unie comme c'est souvent le cas dans l'Haryana rural" a déclaré le père dans le Times of India.
http://www.aujourdhuilinde.com/informations-inde-une-jeune-maman-indienne-de-ans-2592.asp?1=1
2008-12-02
Même "rengaine" / again same "tune"
Comme pour de nombreux attentats on entend "les autorités étaient prévnues..." ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-les-autorites-indiennes-etaient-prevenues-des-attaques-de-bombay-2569.asp?1=1
As for numerous terrorists attacks we can hear " the authorities were warned... " ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
http://www.hindustantimes.com/StoryPage/FullcoverageStoryPage.aspx?id=88856bb0-fc86-4be4-a406-e1ec953f2359Mumbaiunderattack_Special&&Headline=Mumbai+attack+warning+came+a+year+ago
http://www.rediff.com/news/2008/dec/02mumterror-us-warned-india-of-terror-attacks.htm
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-les-autorites-indiennes-etaient-prevenues-des-attaques-de-bombay-2569.asp?1=1
As for numerous terrorists attacks we can hear " the authorities were warned... " ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
http://www.hindustantimes.com/StoryPage/FullcoverageStoryPage.aspx?id=88856bb0-fc86-4be4-a406-e1ec953f2359Mumbaiunderattack_Special&&Headline=Mumbai+attack+warning+came+a+year+ago
http://www.rediff.com/news/2008/dec/02mumterror-us-warned-india-of-terror-attacks.htm
2008-11-28
Moins d'enfant adoptable en ville / Fewer children up for adoption in city
Mumbai, November 24, 2008
First Published: 01:17 IST(24/11/2008)
Last Updated: 01:48 IST(24/11/2008)
Fewer children up for adoption in city
It will take you much longer than nine months to become a parent, if you plan to adopt. At least in Mumbai, the city with the highest number ofadoptions in India. "We used to tell prospective parents to wait for at least the duration of afull-term pregnancy. Not anymore. There are simply no children available,"said Dr Lina Kashyap, chairperson of the Mumbai Adoption Coordinating Agency(ACA), the state wing of the Central Adoption Regulation Authority, underthe Union ministry of women and child welfare. In 2007, Mumbai registered 509 adoptions. This year, figures till Octobershow a 43 per cent dip, with only 290 cases. As the Adoption Awareness Week,between November 14 and 21, came to an end, around 150 families are on the2008 waiting list. It was 50 families in 2007.The city has 14 adoption agencies, the most in any Indian city. One in sixadoptions in the country (16 per cent of the total) was from Mumbai in 2007.But now all agencies have 15 to 25 parents on their waiting list for over ayear. "This will the first in many years that adoption figures may not touch400," said Vandana Patil, coordinator, Mumbai ACA.The reasons for a 'shortage' of children are unclear. "It seems that thenumber of single mothers, the biggest source of children for adoption, isdropping," said Sunil Arora of Bal Asha. The easy availability of emergency contraceptive pills could be one reason,said adoption agencies. "One also cannot discount illegal abortions andillegal adoptions," said Kashyap.The shortage has led to some positive changes. "People are acceptingdark-skinned children despite the great Indian obsession for fairer skin,"said Kashyap. Harsha Seth of Bal Anand Trust, a Chembur-based adoptionagency, revealed: "We have even been able to place three children of HIV+parents. Till now, it has not been possible even when the kids, as in thesecases, don't have HIV and are healthy."
http://www.hindustantimes.com/StoryPage/Print.aspx?Id=93ce6cd2-1885-4182-ba89-f5112e22558c
First Published: 01:17 IST(24/11/2008)
Last Updated: 01:48 IST(24/11/2008)
Fewer children up for adoption in city
It will take you much longer than nine months to become a parent, if you plan to adopt. At least in Mumbai, the city with the highest number ofadoptions in India. "We used to tell prospective parents to wait for at least the duration of afull-term pregnancy. Not anymore. There are simply no children available,"said Dr Lina Kashyap, chairperson of the Mumbai Adoption Coordinating Agency(ACA), the state wing of the Central Adoption Regulation Authority, underthe Union ministry of women and child welfare. In 2007, Mumbai registered 509 adoptions. This year, figures till Octobershow a 43 per cent dip, with only 290 cases. As the Adoption Awareness Week,between November 14 and 21, came to an end, around 150 families are on the2008 waiting list. It was 50 families in 2007.The city has 14 adoption agencies, the most in any Indian city. One in sixadoptions in the country (16 per cent of the total) was from Mumbai in 2007.But now all agencies have 15 to 25 parents on their waiting list for over ayear. "This will the first in many years that adoption figures may not touch400," said Vandana Patil, coordinator, Mumbai ACA.The reasons for a 'shortage' of children are unclear. "It seems that thenumber of single mothers, the biggest source of children for adoption, isdropping," said Sunil Arora of Bal Asha. The easy availability of emergency contraceptive pills could be one reason,said adoption agencies. "One also cannot discount illegal abortions andillegal adoptions," said Kashyap.The shortage has led to some positive changes. "People are acceptingdark-skinned children despite the great Indian obsession for fairer skin,"said Kashyap. Harsha Seth of Bal Anand Trust, a Chembur-based adoptionagency, revealed: "We have even been able to place three children of HIV+parents. Till now, it has not been possible even when the kids, as in thesecases, don't have HIV and are healthy."
http://www.hindustantimes.com/StoryPage/Print.aspx?Id=93ce6cd2-1885-4182-ba89-f5112e22558c
LIENS DU SANG...
«En France, on privilégie le droit du sang»
Jean-Vital de Monléon est pédiatre et anthropologue. Il est le créateur et le responsable de la plus grande consultation de France d'accueil d'enfants adoptés, à Dijon (Côte-d'Or). Auteur du livre pour enfant les Deux Mamans de Petirou (1) et de Naître là-bas, grandir ici (2), il est également membre du Conseil supérieur de l'adoption.
Où en est l'adoption en France ?
Depuis deux ans, on constate une diminution importante du nombre d'adoptions. Cela s'explique notamment par la lutte contre le trafic d'enfants, dans le cadre de l'adoption internationale, ce qui est tout à fait louable, mais on a peut-être été un peu trop suspicieux et tatillons à ce sujet. L'adoption nationale, quant à elle, demeure très limitée. Je déplore que notre société ne soit pas bienveillante à l'égard des enfants adoptés. Il y a beaucoup de racisme et de misérabilisme. Et de stigmatisation, comme cette façon de penser que chaque enfant adopté deviendra forcément un adolescent obsédé par la recherche de ses origines.
Pourquoi l'adoption nationale est-elle si limitée ?
En France, on privilégie le droit du sang. Lorsqu'un enfant est placé en famille d'accueil ou en foyer après décision d'un juge, les magistrats et les éducateurs font tout pour préserver les liens biologiques, parfois de façon excessive. Les démarches conduisant à la déchéance des droits parentaux, afin que l'enfant soit adoptable, sont donc exceptionnelles (*), et quand elles aboutissent il est généralement trop tard. Normalement ces démarches sont possibles au bout d'un an, mais elles ne sont effectuées en réalité qu'au bout d'environ trois ans. Les enfants ont alors 7 ou 8 ans et il devient beaucoup plus difficile de les faire adopter.
Que recherchent les familles ?
L'adoption n'est pas un geste humanitaire. Il s'agit pour la plupart d'entre elles de pallier une infécondité (célibat ou couple stérile), dans le but de créer une famille ou de l'agrandir. La plupart souhaitent adopter un enfant jeune et ne pas attendre trop longtemps. Il faut compter neuf mois pour obtenir l'agrément, délivré par le conseil général, puis patienter encore bien davantage après pour voir l'enfant arriver.
Comment peut-on améliorer le système ?
Jusqu'à maintenant, les gouvernements se sont surtout intéressés à l'aspect quantitatif et pas qualitatif. Je pense notamment à l'information et à la formation des familles, à travers les consultations d'orientation et de conseil à l'adoption (Coca) comme celles que j'organise au CHU de Dijon et qui sont trop peu développées. Il s'agit d'un soutien médical et psychologique apporté aux familles adoptantes. Nous rendons un énorme service et pourtant nous ne faisons que survivre.La secrétaire d'Etat à la Famille, Nadine Morano, souhaite augmenter ces consultations.Je suis content qu'on y accorde enfin de l'intérêt, mais je pense qu'il est préférable de donner véritablement des moyens aux consultations qui ont fait leur preuve plutôt que d'en créer partout aveuglément.(1) Avec Rebecca Dautremer, éd. Gautier-Langereau, 2001. (2) Ed. Belin, 2003. Source : Libération.fr - BRISSAUD Elise http://www.liberation.fr/france/010187921-en-france-on-privilegie-le-droit-du-sang
(*)je suis sans doute guère objective (de part mon vécu d’enfant et maintenant de maman adoptive), mais je pense que les liens du sang ne sont pas primordiaux quand on réfléchit au bien-être psy-affectif de l’enfant…
Jean-Vital de Monléon est pédiatre et anthropologue. Il est le créateur et le responsable de la plus grande consultation de France d'accueil d'enfants adoptés, à Dijon (Côte-d'Or). Auteur du livre pour enfant les Deux Mamans de Petirou (1) et de Naître là-bas, grandir ici (2), il est également membre du Conseil supérieur de l'adoption.
Où en est l'adoption en France ?
Depuis deux ans, on constate une diminution importante du nombre d'adoptions. Cela s'explique notamment par la lutte contre le trafic d'enfants, dans le cadre de l'adoption internationale, ce qui est tout à fait louable, mais on a peut-être été un peu trop suspicieux et tatillons à ce sujet. L'adoption nationale, quant à elle, demeure très limitée. Je déplore que notre société ne soit pas bienveillante à l'égard des enfants adoptés. Il y a beaucoup de racisme et de misérabilisme. Et de stigmatisation, comme cette façon de penser que chaque enfant adopté deviendra forcément un adolescent obsédé par la recherche de ses origines.
Pourquoi l'adoption nationale est-elle si limitée ?
En France, on privilégie le droit du sang. Lorsqu'un enfant est placé en famille d'accueil ou en foyer après décision d'un juge, les magistrats et les éducateurs font tout pour préserver les liens biologiques, parfois de façon excessive. Les démarches conduisant à la déchéance des droits parentaux, afin que l'enfant soit adoptable, sont donc exceptionnelles (*), et quand elles aboutissent il est généralement trop tard. Normalement ces démarches sont possibles au bout d'un an, mais elles ne sont effectuées en réalité qu'au bout d'environ trois ans. Les enfants ont alors 7 ou 8 ans et il devient beaucoup plus difficile de les faire adopter.
Que recherchent les familles ?
L'adoption n'est pas un geste humanitaire. Il s'agit pour la plupart d'entre elles de pallier une infécondité (célibat ou couple stérile), dans le but de créer une famille ou de l'agrandir. La plupart souhaitent adopter un enfant jeune et ne pas attendre trop longtemps. Il faut compter neuf mois pour obtenir l'agrément, délivré par le conseil général, puis patienter encore bien davantage après pour voir l'enfant arriver.
Comment peut-on améliorer le système ?
Jusqu'à maintenant, les gouvernements se sont surtout intéressés à l'aspect quantitatif et pas qualitatif. Je pense notamment à l'information et à la formation des familles, à travers les consultations d'orientation et de conseil à l'adoption (Coca) comme celles que j'organise au CHU de Dijon et qui sont trop peu développées. Il s'agit d'un soutien médical et psychologique apporté aux familles adoptantes. Nous rendons un énorme service et pourtant nous ne faisons que survivre.La secrétaire d'Etat à la Famille, Nadine Morano, souhaite augmenter ces consultations.Je suis content qu'on y accorde enfin de l'intérêt, mais je pense qu'il est préférable de donner véritablement des moyens aux consultations qui ont fait leur preuve plutôt que d'en créer partout aveuglément.(1) Avec Rebecca Dautremer, éd. Gautier-Langereau, 2001. (2) Ed. Belin, 2003. Source : Libération.fr - BRISSAUD Elise http://www.liberation.fr/france/010187921-en-france-on-privilegie-le-droit-du-sang
(*)je suis sans doute guère objective (de part mon vécu d’enfant et maintenant de maman adoptive), mais je pense que les liens du sang ne sont pas primordiaux quand on réfléchit au bien-être psy-affectif de l’enfant…
2008-11-27
Terreur à Mumbai / terror in Mumbai
Une série d'articles pour les francophones au sujet des attentats de Mumbai :
http://fr.news.yahoo.com/fc/inde.html
--------
A list of articles in english related to the terrorist attack in Mumbai:
http://uk.news.yahoo.com/fc/mumbai.html
http://fr.news.yahoo.com/fc/inde.html
--------
A list of articles in english related to the terrorist attack in Mumbai:
http://uk.news.yahoo.com/fc/mumbai.html
Attaque terrosiste à Bombay / Terrorist attack in Mumbai
Je suis très choquée par ce que j'ai appris ce matin :
"La capitale économique de l’Inde a été le théâtre d’une série d’attentats et d’attaques terroristes cette nuit, qui se sont déclenchées vers 21h30. Plusieurs endroits de la ville ont été visés par des bombes, des fusillades et des jets de grenades, tuant au moins 100 personnes et faisant au moins 300 blessés.
Au moins sept endroits de la ville ont été visés
La plupart des attaques a eu lieu dans le centre financier et touristique de la ville, laissant penser que les terroristes visaient particulièrement les étrangers. En effet, des lieux tels que la prestigieuse gare de CST railway station, le Cafe Leopold, ou encore les hôtels 5 étoiles Taj Mahal et Oberoi ont été touchés. L'hôpital Cama a aussi été pris pour cible.
Des personnes, parmi lesquelles des étrangers, ont été prises en otage dans plusieurs hôtels, que des unités d'élite essaient actuellement de libérer, rapporte l'Hindustan Times.
Ce matin à 10 heures, heure indienne, 15 personnes seraient toujours retenues dans le Taj Mahal, en proie aux flammes. Mais aucune information concernant la présence éventuelle de Français dans les lieux ne nous est parvenue. D'après certains témoignages, les terroristes seraient notamment à la recherche de ressortissants anglais ou américains.
Quatre parlementaires européens, venus préparer un sommet Union Européenne – Inde, sont ressortis sains et saufs du bâtiment. Deux députés fédéraux indiens, dans l'hôtel au moment de l'attaque, ont aussi pu s'échapper.
Les autorités indiennes ont envoyé l'armée en renfort ainsi que de nombreux commandos d'élites. La police aurait réussi à arrêter neuf personnes et en aurait abattu quatre.
Au moins dix policiers auraient été tués, dont Hemant Karkare, le chef de la brigade anti-terroriste, pris pour cible lors d'une intervention à l'hôtel Taj Mahal.
Les attaques ont été revendiquées par le groupe des Moudjahidine du Deccan, qui a envoyé un mail aux grands médias hier soir. Ce groupuscule islamiste est totalement inconnu des services de police indiens.
Bombay est le théâtre régulier d'attentats depuis plusieurs années, mais c'est la première fois que les attaques ciblent aussi spécifiquement les étrangers. http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-au-moins--morts-dans-des-attaques-terroristes-a-bombay-2545.asp?1=1 "
http://www.lejdd.fr/cmc/international/200848/serie-d-attentats-en-inde_168197.html
------
I am very shocked by what I learnt this morning (Article in english):
http://uk.news.yahoo.com/21/20081127/tuk-101-dead-as-gunmen-target-britons-6323e80.html
"La capitale économique de l’Inde a été le théâtre d’une série d’attentats et d’attaques terroristes cette nuit, qui se sont déclenchées vers 21h30. Plusieurs endroits de la ville ont été visés par des bombes, des fusillades et des jets de grenades, tuant au moins 100 personnes et faisant au moins 300 blessés.
Au moins sept endroits de la ville ont été visés
La plupart des attaques a eu lieu dans le centre financier et touristique de la ville, laissant penser que les terroristes visaient particulièrement les étrangers. En effet, des lieux tels que la prestigieuse gare de CST railway station, le Cafe Leopold, ou encore les hôtels 5 étoiles Taj Mahal et Oberoi ont été touchés. L'hôpital Cama a aussi été pris pour cible.
Des personnes, parmi lesquelles des étrangers, ont été prises en otage dans plusieurs hôtels, que des unités d'élite essaient actuellement de libérer, rapporte l'Hindustan Times.
Ce matin à 10 heures, heure indienne, 15 personnes seraient toujours retenues dans le Taj Mahal, en proie aux flammes. Mais aucune information concernant la présence éventuelle de Français dans les lieux ne nous est parvenue. D'après certains témoignages, les terroristes seraient notamment à la recherche de ressortissants anglais ou américains.
Quatre parlementaires européens, venus préparer un sommet Union Européenne – Inde, sont ressortis sains et saufs du bâtiment. Deux députés fédéraux indiens, dans l'hôtel au moment de l'attaque, ont aussi pu s'échapper.
Les autorités indiennes ont envoyé l'armée en renfort ainsi que de nombreux commandos d'élites. La police aurait réussi à arrêter neuf personnes et en aurait abattu quatre.
Au moins dix policiers auraient été tués, dont Hemant Karkare, le chef de la brigade anti-terroriste, pris pour cible lors d'une intervention à l'hôtel Taj Mahal.
Les attaques ont été revendiquées par le groupe des Moudjahidine du Deccan, qui a envoyé un mail aux grands médias hier soir. Ce groupuscule islamiste est totalement inconnu des services de police indiens.
Bombay est le théâtre régulier d'attentats depuis plusieurs années, mais c'est la première fois que les attaques ciblent aussi spécifiquement les étrangers. http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-au-moins--morts-dans-des-attaques-terroristes-a-bombay-2545.asp?1=1 "
http://www.lejdd.fr/cmc/international/200848/serie-d-attentats-en-inde_168197.html
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I am very shocked by what I learnt this morning (Article in english):
http://uk.news.yahoo.com/21/20081127/tuk-101-dead-as-gunmen-target-britons-6323e80.html
2008-11-21
A lire
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-les-quatre-commandements-du-mariage-indien-640.asp?1=1
Le notre a été plus rapide je dirai même express (1 jour) à la demande de mon cher et tendre puisque le civil a eu lieu plusieures semaines auparavant mais le mariage d'autres membres de ma famille, les diverses cérémonies/fêtes se sont étalées sur une dizaine de jours...
Le notre a été plus rapide je dirai même express (1 jour) à la demande de mon cher et tendre puisque le civil a eu lieu plusieures semaines auparavant mais le mariage d'autres membres de ma famille, les diverses cérémonies/fêtes se sont étalées sur une dizaine de jours...
Réponse "TURQUOISE" : Moushette très perspicace !
Et oui en ce début de mois nous avons fêté nous noces de Turquoise... 18 ans de mariage !
AFA - INDE
Récemment la CARA (autorité centrale indienne) a inclus les coordonnées de l'AFA dan son tableau des organismes officiellement accrédités mais à ce jour cette info ne semble pas avoir été mise à jour sur le site de l'AFA !
http://www.cara.nic.in/list_of_foreign_agencies_france.htm
http://www.cara.nic.in/list_of_foreign_agencies_france.htm
2008-11-18
les filles ont le vent en poupe / Girls are on the roll
Dans certains états indiens, les postulants en national préféraient adopter des filles et cette tendance semble s'étendre à d'autres états. / In a few Indian states, the applicants for incountry adoption preferred to adopt girls and this tendency seems to extend to other states.
http://timesofindia.indiatimes.com/Cities/Pune/Adopting_a_girl_child_You_are_in_the_queue/articleshow/3710758.cms
http://timesofindia.indiatimes.com/Cities/Pune/Adopting_a_girl_child_You_are_in_the_queue/articleshow/3710758.cms
2008-11-02
Turquoise
Aujourd'hui c'est la journée turquoise, pourquoi d'après-vous ? j'attends vos suggestions ! ! ! / today is turquoise day, why? Looking forward to your suggestions!!!
Allez un petit indice, "années"... / well an indication, "years"
Allez un petit indice, "années"... / well an indication, "years"
2008-11-01
Histoire qui se finit comme elle se doit / story ending as it should be
français : http://www.aujourdhuilinde.com/informations-inde-fin-heureuse-pour-bebe-japonais-ne-d-une-mere-porteuse-indienne-2402.asp?1=1
English:
http://timesofindia.indiatimes.com/Cities/Manji_to_unite_with_dad_in_Japan/articleshow/3659352.cms
English:
http://timesofindia.indiatimes.com/Cities/Manji_to_unite_with_dad_in_Japan/articleshow/3659352.cms
Libellés / key words
Adoption Inde/adoption in India,
mère porteuses-GPA/surrogacy
2008-10-30
Encore /again
2008-10-28
2008-10-23
Constitution de dossier / constitution of the file!!!!!!!
Non, non pas pour un(e) petit(e) troisième mais pour le TGI en vue de l'adoption plénière de Rohan... Tant que je n'avais pas les tradutions je ne pouvais pas faire grand chose... Normalement si tout se passe bien dépôt du dossier au TGI d'ici une petite quinzaine / Not for a 3rd baby but for the plenary adoption of Rohan at our local court, I was waiting for the translations to collect all the other papers... If evrything goes fine petition will be filed at the court within a fortnight.
Dossier CAF / family allowances file...
ENFIN allocations familiales, prime adoption et aide pour nounou régularisés, ils en auront mis du temps à la CAF, plus de 3,5 mois / finally family allowances, adoption bonus and help to pay for the nanny finalized after more than 3,5 months...
varicelle /chicken pox
Notre petit prince a la varicelle, il l'a attrapé chez sa nounou / Rohan has chicken pox...
2008-10-22
BIENTOT DIWALI mais...
Eh oui la plus grande fête indienne de l'année DIWALI se profile mais sera peut être un tantiné moins enjouée que d'habitude ! ! !
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-diwali-fete-des-lumieres-dans-l-ombre-des-attentas-et-de-la-crise-2360.asp?1=1
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-diwali-fete-des-lumieres-dans-l-ombre-des-attentas-et-de-la-crise-2360.asp?1=1
Mc Do à l'indienne
pour les adeptes... même si je ne suis pas une grande fan, les épices et autres ingrédients améliorent nettement le gôut et ce que j'apprécie c'est le paneer salsa wrap mais rien ne remplace les bons plats de la cusine gastronomique indienne !
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-decouvrez-le-mc-do-a-la-sauce-indienne--2359.asp?1=1
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-decouvrez-le-mc-do-a-la-sauce-indienne--2359.asp?1=1
2008-10-20
Joyeux Anniversaire Trisha / Happy B'Day Trisha
Notre princesse vient d'avoir 5 ans, déjà, que le temps passe vite !
JOYEUX ANNIVERSAIRE petite chérie...
Our princess just turned 5 yrs old, already, time really flies!
HAPPY BIRTHDAY little darling...
JOYEUX ANNIVERSAIRE petite chérie...
Our princess just turned 5 yrs old, already, time really flies!
HAPPY BIRTHDAY little darling...
2008-10-09
Verdict
Aujourd'hui c'était notre RDV au CHU de Bordeaux pour des tests auditifs complémentaires pour Trisha et résulats avec une perte d'audition de près de 50% elle devra parter un appareil auditif à vie. / Today it was our appointement at the university hospital of Bordeaux for additional hearing tests for Trisha and results, with a hearing loss of nearly t 50 % she will have to wear hearing aids all her life long.
2008-09-29
je n'ai que 2 mains / I've got only 2 hands (dixit Trisha)
Quand le week end est beau comme ça on profite des beaux rayons du soleil de l'été indien et on commence à mettre des bulbes en jardnière. Trisha s'est fait acheter des gants pour aider papa à "jardiner" et lui a donc donné un coup de main. Bien sûr avec ses petites mains elle ne va pas aussi vite que papa alors quand papa lui a dit "allez allez dépêche toi..." elle lui a rétorqué " eh je n'ai que 2 mains", là elle n'a pas du tout bafouillé pour lui dire cela !
When the weekend is as pleasant as it is we enjoy the last warm sun rays of the "indian summer" and we start puting the flower bulbs in flower pots. Trisha asked to get special gloves to help dad "to garden" and thus gave a hand to him. Naturally with her small hands she does not go as fast as him so then when dad told her "come on, hurry up" she replied to him " eh I have got only 2 hands ", she didn't falter to say that!
When the weekend is as pleasant as it is we enjoy the last warm sun rays of the "indian summer" and we start puting the flower bulbs in flower pots. Trisha asked to get special gloves to help dad "to garden" and thus gave a hand to him. Naturally with her small hands she does not go as fast as him so then when dad told her "come on, hurry up" she replied to him " eh I have got only 2 hands ", she didn't falter to say that!
Rohan marche / Rohan walks
Cela faisait un peu plus de 2 semaines il se relevait sans appui mais hésitait à faire un 1 er pas... C'est chose faite maintenant il fait une bonne quinzaine de pas tout seul ! / A bit more than 2 weeks back he could stand up witout any support but was hesitating in making the 1st step now it's done and he can make approx 15 steps alone!
2008-09-28
2008-09-25
2008-09-20
Un goût de DEJA VU / a taste of "DEJA VU"
Je suis DEGOUTEE et DEMOTIVEE à un point… On me tient le bec dans l’eau en intérim en me balançant devant le nez une carotte nommée CDI depuis près de 16 mois et là je vois débarquer la compagne du directeur du service"division internationale" (qui a clairement dit que pour régulariser sa situation concernant son permis de séjour il lui faut un CDI) et pour elle le chef envisage de soulager la zone export dont elle sera chargée de l'adminstration des ventes et de la logistique en lui enlevant quelques pays "car cela représente trop de taf pour elle" alors que d’autres l’ont fait en l’état (moi y compris) ; et pour sûr il va tout faire pour la faire embaucher ; résultat je vais encore passer à la trappe (c’est ce qui c’est déjà passé en il y a un peu plus de 3 ans, dans cette même entreprise où j’ai été intérimaire pendant 3 ans car j’ai formé une stagiaire originaire d’Amérique du sud n’ayant pas non plus la nationalité française et le directeur a tout fait pour l’embaucher afin qu’elle ait son permis de travail)…
I am DISGUSTED and DEMOTIVATED you can't imagine… for the past 16 months I'm being "hold the beak in the water" as a temporary worker by rocking in front of my nose a carrot named permament contract and, mid this ending week, the "fiancé" (girlfriend) of the director of the international division started working with us (she clearly said that to settle her situation regarding her residence permit she needs a permanent contract) ; for her the director is planning to relieve the export sales administration & logistics area she is going to follow up by removing countries because it represents too much of work for her whereas other persons have done as it is (myslef included) ; and for sure he's going to do everything possible for her to get a permanent contract in the company, result I am again going to pass in the trapdoor (this already happened a bit more than 3 years ago, in this same company where I was working as a temporary during 3 years indeed I trained a trainee native from South ern America (with no French citizenship) and the director did everything to engage her so that she could get her work permit…
I am DISGUSTED and DEMOTIVATED you can't imagine… for the past 16 months I'm being "hold the beak in the water" as a temporary worker by rocking in front of my nose a carrot named permament contract and, mid this ending week, the "fiancé" (girlfriend) of the director of the international division started working with us (she clearly said that to settle her situation regarding her residence permit she needs a permanent contract) ; for her the director is planning to relieve the export sales administration & logistics area she is going to follow up by removing countries because it represents too much of work for her whereas other persons have done as it is (myslef included) ; and for sure he's going to do everything possible for her to get a permanent contract in the company, result I am again going to pass in the trapdoor (this already happened a bit more than 3 years ago, in this same company where I was working as a temporary during 3 years indeed I trained a trainee native from South ern America (with no French citizenship) and the director did everything to engage her so that she could get her work permit…
2008-09-12
Festival de Ganesh bis...
http://www.aujourdhuilinde.com/actualites-inde-on-celebre-le-festival-de-ganesh-le-dieu-chouchou-des-indiens-2115.asp?1=1
Pourquoi ce dieu a une tête d'éléphant, voir mon post du 31 août.
Pourquoi ce dieu a une tête d'éléphant, voir mon post du 31 août.
2008-09-11
Elle veut 12 enfants / she wants 12 children
Ses jumeaux à peine nés, Angelina Jolie parle déjà d'adopter un ou 2 orphelins chinois! Touchée par le tremblement de terre qui a ébranlé la Chine voilà quelques semaines, la jeune femme espère pouvoir accueillir rapidement un nouvel enfant. Brad Pitt n'a pas donné son avis sur ce nouveau projet d'adoption mais il a toujours déclaré vouloir une dizaine d'enfant avec sa bien aimée.../ Her twins are just born & Angelina Jolie already plans to adopt 1 or 2 Chinese orphans! Concerned by the earthquake which shook China a few weeks ago, the young lady hopes she can welcome quickly a new child. Brad Pitt did not give his agreement onto this new project of adoption but he always declared that he wants ten children with his beloved.
http://www.elleraconte.com/article-angelina-jolie-pense-deja-une-nouvelle-adoption-a_5748_0_0.html
http://www.elleraconte.com/article-angelina-jolie-pense-deja-une-nouvelle-adoption-a_5748_0_0.html
2008-09-08
Beurrrkkkk!!!!
J'ai trouvé ça en farfouillant sur le net...
De la viande de rats sur nos plats… bientôt! Le ministre indien Vijay Prakash souhaite développer des fermes d’élevage de rats pour une alimentation humaine. La communauté de Musahar, dans la province indienne de Bihar consomme de la viande de rats depuis des générations… et cela permet à la population non seulement de minimiser la perte de leur stock de grains, mais aussi d’enrichir leur régime alimentaire (+ de protéine)!
…après tout, les rats mangent presque la même chose que les cochons, non!?
http://www.1001actus.com/26082008/de-la-viande-de-rats-sur-nos-plats-bientot/
De la viande de rats sur nos plats… bientôt! Le ministre indien Vijay Prakash souhaite développer des fermes d’élevage de rats pour une alimentation humaine. La communauté de Musahar, dans la province indienne de Bihar consomme de la viande de rats depuis des générations… et cela permet à la population non seulement de minimiser la perte de leur stock de grains, mais aussi d’enrichir leur régime alimentaire (+ de protéine)!
…après tout, les rats mangent presque la même chose que les cochons, non!?
http://www.1001actus.com/26082008/de-la-viande-de-rats-sur-nos-plats-bientot/
2008-09-02
C'est quoi ? / What is it?
Et si l'on le reconstruisait ??????? Mais... à une taille qui tient sur votre table de salon avec plus de 5900 pièces, qu'est-ce ? / And if we could re-buit it??????? But... with its over 5900 pieces it will fit on yourlounge table, what is it?
C'est la rentrée / start of the school year
Trisha était bien contente de reprendre l'école après de très longues vacances de 3.5 mois en raison de notre séjour en Inde pour aller chercher son petit frère. Cette année elle n'est pas du tout dans la même classe que ses copains(copines) de l'an passé mais elle les retrouvera dans la cours de récréation. Cette première journée s'est bien passée. / Trisha was very happy to resume school after a very long holidays of 3.5 months due to our stay in India to fetch her little brother. This year she isn't in the same class as her last year friends but she will find them in the school playground. this 1st day went fine.
2008-09-01
CAF/family allowances
Ah l'administration ! ! ! donc à la CAF 1ère sem de juillet nous avons déposé notre demande de prime à l'adoption et nos alloc après nous être déplacés aux guichets pour connaitres les pièces à fournir. 3 semaines plus tard par courrier ils nous demandaient de leur fournir la trad du jugement en Inde (alors qu'il nous avait été dit qu'ils pouvaient le faire traduire de leur côté) et avec leur accord nous leur avons fourni l'attestation de l'OAA. Là au 1er sept nouvelle demande, ils veulent la copie de la CI de Trisha (pas dispo car elle est sur mon passeport) et copie de notre livret de famille pourquoi ne peuvent-ils pas regrouper leurs demandes ?!? grrr... !!! / Bah the administration!!! so, at the CAF(Family allowaces office) st week of July we registered our application to receive the adoption bonus and our family allowances after meeting one of the staff at the reception to know which document to supply. 3 weeks later by mail they asked us to supply them the translation (whereas we've been told that they have it translated on their side) of the judgment issued in India and with their agreement we supplied them the certificate of the French adoption agency. Now on the 1st Sept new demand, they want the copy of IC of Trisha (not available because she is on my passport) and copy of our family book why cannot they group their "demands"?!? Grrr!!!
2008-08-31
Ganesh chaturti
Normalement le jour du ganesh Chaturthi est le 3/09 , c'est l'une des fêtes les plus sacrée de l'hindouisme, celle de l'anniversaire du Dieu à tête d'éléphant Ganesh.
Mais à Paris cela a été célébré le 31 août
Donc Ganesh est le fils de Shiva et Parvati, Ganesh - ou Ganpati - est le dieu de la sagesse et de l'éducation, vénéré par tous. Plusieurs histoires expliquent comment sa tête s'est retrouvée être celle d'un éléphant. Dans la version la plus commune, Parvati se sentant trop seule a conçu un être à base de poussières et d'onguent. Lorsque la déesse prît un bain, elle demanda à son fils de garder la porte pour que personne ne puisse rentrer.Quand Shiva, époux de Parvati, rentra de son week-end de méditation dans les montagnes, un homme qu'il ne connaissait pas l'empêcha de rejoindre sa déesse. Sans plus de négociation, Shiva lui coupa alors la tête. Après avoir appris que l'homme étant en fait son propre fils (bien que conçu sans lui), Shiva demanda qu'on lui rapporte une tête, la première venue. Ce fût celle d'un éléphant qui lui a été rapportée - laquelle fût rattachée au corps de Ganesh.
Le festival de Ganesh dure une dizaine de jours, il est célébré entre la fin du mois d'Août et le début de Septembre. Pendant cette période chaque famille accueille dans sa maison une effigie qu'elle vénerera par des sucreries, des décorations en tout genre, des fleurs. C'est aussi l'occasion d'offrir des friandises aux voisins et aux proches. C'est à la fin du festival -Ganesh Visarjan- que les effigies seront immergées, en petits comités ou dans les foules compactes sur une des plages principales de Mumbai.
Mais à Paris cela a été célébré le 31 août
Donc Ganesh est le fils de Shiva et Parvati, Ganesh - ou Ganpati - est le dieu de la sagesse et de l'éducation, vénéré par tous. Plusieurs histoires expliquent comment sa tête s'est retrouvée être celle d'un éléphant. Dans la version la plus commune, Parvati se sentant trop seule a conçu un être à base de poussières et d'onguent. Lorsque la déesse prît un bain, elle demanda à son fils de garder la porte pour que personne ne puisse rentrer.Quand Shiva, époux de Parvati, rentra de son week-end de méditation dans les montagnes, un homme qu'il ne connaissait pas l'empêcha de rejoindre sa déesse. Sans plus de négociation, Shiva lui coupa alors la tête. Après avoir appris que l'homme étant en fait son propre fils (bien que conçu sans lui), Shiva demanda qu'on lui rapporte une tête, la première venue. Ce fût celle d'un éléphant qui lui a été rapportée - laquelle fût rattachée au corps de Ganesh.
Le festival de Ganesh dure une dizaine de jours, il est célébré entre la fin du mois d'Août et le début de Septembre. Pendant cette période chaque famille accueille dans sa maison une effigie qu'elle vénerera par des sucreries, des décorations en tout genre, des fleurs. C'est aussi l'occasion d'offrir des friandises aux voisins et aux proches. C'est à la fin du festival -Ganesh Visarjan- que les effigies seront immergées, en petits comités ou dans les foules compactes sur une des plages principales de Mumbai.
2008-08-27
Adoption au JT / evening news short subject abt adoption
C'était ce soir a JT de 20h, résumé des grandes lignes des réformes envisagées pour l'adoption nationale et internationale, reportage sur l'adoption en Inde avec interview d'un couple des USA adoptant une petite fille de 2 ans aveugle et breve interview de Moushette / It was this evening at the 8pm news, sum of the mains reforms the gvt is planning to implement for domestic and intercountry adoptions, report on adoption in India with an interview of a US couple adopting a 2-year-old girl who is blind and a very short interview of Moushette.
http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,4058197,00-l-inde-se-mefie-de-ces-etrangers-qui-souhaitent-adopter-.html
http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,4058197,00-l-inde-se-mefie-de-ces-etrangers-qui-souhaitent-adopter-.html
2008-08-25
2008-08-22
2008-08-20
comme un grand "même pas pleuré" / as a big boy "'didn't cry"
Ce jour fût le 1er a-midi de Rohan chez sa nounou et tout s'est bien passé Rohan n'a pas pleuré ni au moment de dire "bye bye" ni dans la journée à part au moment de la sieste car ce n'est pas son lit. / Today was Rohan's 1st mid-day at his nanny's place and everything went fine Rohan did not cry neither at the time of saying "bye bye" nor during the afternoon except at nap time as that bed isn't his own bed!
Pour ma "petite" soeur Alexandra !
Même si l'image ci dessous est un peu floue, je te rassure le compte de bougies y est... enfin presque...
Allez BON ANNIVERSAIRE !
2008-08-18
2008-08-15
2008-08-11
GPA en Inde - adoption / surrogacy in India - adoption
Histoire d'une petite puce née le 25 juillet 2008 d'une mère porteuse indienne (Gestation Par Autrui = GPA) et de parents japonnais ayant divorcés peu avant sa naissance. La mère bio ne veut plus adopter sa fille alors que le papa bio veut mais la loi indienne sur l'adoption ne permet cette "option" !!! Conséquence, la petite est pour l'instant considérée comme "abandonnée". Ci dessous qqs articles (en anglais) parus sur le net ces derniers jours. Cliquer sur les quelques liens si-dessous:
Story of a baby born on July 25th, 2008 of an Indian surrogate mother and of japonnais parents who had divorced a little bit before her birth. The bio mother no longer wants to adopt her "daughter" and the bio dad wants but the Indian law on the adoption doesn't allow this "option"!!! Consequence, the girl is considered at the moment as "abandoned". Here under articles (in English) which appeared on internet during these last days:
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/india/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html
http://www.wtop.com/?nid=105&sid=1455033
http://www.divorcediva.co.uk/20080806/surrogate-japanese-baby-left-homeless-through-indian-law/
/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html
Story of a baby born on July 25th, 2008 of an Indian surrogate mother and of japonnais parents who had divorced a little bit before her birth. The bio mother no longer wants to adopt her "daughter" and the bio dad wants but the Indian law on the adoption doesn't allow this "option"!!! Consequence, the girl is considered at the moment as "abandoned". Here under articles (in English) which appeared on internet during these last days:
http://www.telegraph.co.uk/news/worldnews/asia/india/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html
http://www.wtop.com/?nid=105&sid=1455033
http://www.divorcediva.co.uk/20080806/surrogate-japanese-baby-left-homeless-through-indian-law/
/2506100/Surrogate-baby-in-legal-limbo-after-Indian-law-blocks-adoption.html
Libellés / key words
Adoption Inde/adoption in India,
mère porteuses-GPA/surrogacy
2008-08-07
Trisha... son audition / Trisha's hearing
Lors de son dernier audiogramme Trisha montre bien un déficit auditif mais l'ORL veut faire faire des tests complémentaires auprès des spécialistes de bordeaux en audiométrie mais elle n'échappera pas à l'appareil auditif ! Donc RDV Bordeaux 9/10. / During her last audiogram Trisha showed a hearing deficit but the ENT wants her to undergo additional tests with the specialists in audiometry in Bordeaux but it will not avoid the hearing aid! Thus appointment in Bordeaux on 9thOct.
2008-08-04
Inde : mères porteuses
NEW DELHI CORRESPONDANCE
"Accepterais-tu de prêter ton ventre à un couple d'Américains ?", a demandé Rajesh à sa femme, un beau matin, dans leur petite maison située dans un village du Bihar, une des régions les plus pauvres d'Inde. Puja crut d'abord à une plaisanterie. "Comment veux-tu que j'accouche d'un bébé blond aux yeux bleus ?", lui a-t-elle répondu en ricanant. "Désormais, la technologie peut faire naître un bébé à partir de n'importe quel ventre", rétorqua son mari. Quelques jours auparavant, cet infirmier venait de lire dans le journal cette petite annonce d'une clinique de New Delhi : "Couples étrangers cherchent mères porteuses." Grâce à la technique de la gestation pour autrui, l'embryon conçu par un couple peut être implanté dans l'utérus d'une femme chargée de mener la grossesse à terme. En Inde, 3 000 maternités offriraient ce service. Le pays est l'un des rares à en autoriser la pratique commerciale. Choquée à l'idée que "la technologie puisse mettre au monde des enfants", Puja hésita. Avait-elle le droit de refuser ? Lourdement endetté, le couple pouvait difficilement renoncer aux 2 500 euros offerts par la clinique. Invoquant le mythe du conte épique indien Ramayana, Rajesh rappela à sa femme ses devoirs : "Lorsque le dieu Rama a dû se réfugier, seul, dans la forêt, pendant quatorze ans, Sita a bravé tous les dangers pour le rejoindre et remplir son devoir d'épouse." Quelques semaines plus tard, Puja et son époux partirent s'installer avec leurs enfants à New Delhi.
La famille occupe désormais un deux-pièces exigu, loué 60 euros par mois, dans la lointaine banlieue de Delhi, où les maisons de brique, construites à la hâte, battent en brèche les derniers remparts de végétation. C'est la première fois que Puja vit loin de son village. A 24 ans, celle qui a déjà accouché de deux enfants portera bientôt l'embryon d'un couple de producteurs de cinéma d'Hollywood. "Le Bollywood des Etats-Unis", s'exclame Rajesh, qui aimerait vaincre les dernières réticences de son épouse. Le couple recevra près de 130 euros par mois de grossesse et 1 000 euros à l'accouchement. Toutes les semaines, ils ont rendez-vous chez le docteur Gupta pour des tests médicaux.
En plein coeur de New Delhi, la clinique se repère facilement grâce à sa pancarte, "Lieu de naissance de la joie", et aux dizaines de sandales entassées au pied de l'escalier. Dans la salle d'attente, les patients, pieds nus, ne quittent pas des yeux la comédie romantique diffusée à la télévision. Ici, les ovules et les spermatozoïdes font l'objet d'une attention particulière. "Vous êtes priés de ne pas utiliser de parfum, ni de lotion après rasage. Ces odeurs sont mauvaises pour les ovules et les spermatozoïdes", avertit une pancarte, placée à côté de Ganesh, dieu de la prospérité.
Le docteur Gupta est un "spécialiste de la fertilité", comme l'indique sa carte de visite. Chaque mois, il reçoit, trente demandes de couples étrangers. "Ici, les femmes ne trompent pas leur mari. Elles ne boivent pas d'alcool, ne fument pas et ne se droguent pas. Elles sont en excellente santé", affirme le docteur. Face à lui, Puja, le visage creusé par les cernes, a les mains crispées sur le tissu bleu de son sari. Elle doit attendre encore quelques semaines avant de recevoir l'embryon du couple américain, le temps de terminer l'allaitement de son dernier enfant, âgé seulement de 8 mois. Le docteur Gupta tente de la rassurer : "Nous avons en Inde les mêmes technologies qu'en Occident et nous sommes aussi compétents."
Après l'informatique, les grossesses se délocalisent en Inde. L'opération, qui peut coûter en Inde jusqu'à 20 000 dollars (13 000 euros environ), est cinq fois moins chère qu'aux Etats-Unis. Des agences se sont même créées dans le but de recruter des mères porteuses. A Anand, une petite ville de l'ouest de l'Inde, une clinique a construit une résidence pour loger, durant leur grossesse, les mères, qui ont la possibilité de suivre des cours d'anglais et d'informatique. Pour porter le bébé d'un couple étranger, rien n'est plus simple. La "clinique de la fertilité", à Bombay, propose sur son site Internet un formulaire de candidature. La postulante doit avoir eu au moins un enfant et répondre à une série de questions, dont celle-ci : "Dans le cas d'une malformation, accepteriez-vous un avortement ?"
Les demandes de couples étrangers auraient quadruplé l'année dernière. En l'absence de régulation, ce nouveau "marché", évalué à 450 millions de dollars (près de 290 millions d'euros), est en pleine croissance. La seule protection juridique à laquelle peut prétendre Puja tient dans les quelques pages de son contrat signé avec le couple américain. L'essentiel concerne le mode de rémunération. En cas d'accident ou de malformation du bébé, les clauses restent allusives. En Inde, les seules directives, données par le Conseil de recherche médicale indien, un organisme public de recherche, sont jugées insuffisantes par les défenseurs des droits des femmes. La section 3.10 recommande, par exemple, que l'âge maximum légal soit fixé à 45 ans. L'âge minimum légal n'est même pas mentionné.
"Et si la mère meurt à la naissance ?", s'interroge Bhavana Kumar, coordinatrice au Conseil national des femmes. "En l'absence de loi, les mères porteuses s'exposent à tous les dangers", conclut-elle. En Inde, la pratique de la maternité par substitution n'est pas nouvelle. "Il arrivait qu'une femme porte l'enfant de sa soeur, stérile. Mais on restait dans le cadre familial. Désormais, le corps peut être exploité commercialement. C'est la porte ouverte à tous les abus", avertit le docteur Girija Viyas, la présidente de la Commission nationale des femmes. Récemment, la commission nationale a recueilli le témoignage d'une femme qui, après avoir accouché sept ou huit fois, aurait rencontré de sérieux problèmes de santé.
Le 25 juin, la ministre indienne des femmes et de la protection de l'enfance, Renuka Chowdhury, a promis le vote d'une loi au cours des dix prochains mois. Il n'est pas question d'interdire la pratique commerciale, mais de mieux la réguler. "Nous ne voulons pas que la maternité par substitution devienne un commerce d'organe, sans entrave. L'Inde en est devenue un pôle d'attraction à bas coût. Nous devons mettre en place un organisme régulateur", a précisé Mme Chowdhury. La loi devrait prévoir notamment un accompagnement psychologique pour la mère au moment de l'accouchement et une limitation du nombre d'accouchements pour autrui. L'âge légal pour une mère porteuse devrait être compris entre 22 et 45 ans.
Même si une loi est votée, les couples étrangers ne seront pas tout à fait protégés, ajoute le docteur Asha Jaipuria, obstétricienne : "Qu'est ce qui peut garantir aux parents que certains de leurs ovules ou spermatozoïdes ne seront pas conservés pour être ensuite revendus à des mères indiennes désirant avoir un bébé au teint clair ?"
Julien Bouissou
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/08/04/les-meres-porteuses-un-creneau-indien_1080048_3216.html
"Accepterais-tu de prêter ton ventre à un couple d'Américains ?", a demandé Rajesh à sa femme, un beau matin, dans leur petite maison située dans un village du Bihar, une des régions les plus pauvres d'Inde. Puja crut d'abord à une plaisanterie. "Comment veux-tu que j'accouche d'un bébé blond aux yeux bleus ?", lui a-t-elle répondu en ricanant. "Désormais, la technologie peut faire naître un bébé à partir de n'importe quel ventre", rétorqua son mari. Quelques jours auparavant, cet infirmier venait de lire dans le journal cette petite annonce d'une clinique de New Delhi : "Couples étrangers cherchent mères porteuses." Grâce à la technique de la gestation pour autrui, l'embryon conçu par un couple peut être implanté dans l'utérus d'une femme chargée de mener la grossesse à terme. En Inde, 3 000 maternités offriraient ce service. Le pays est l'un des rares à en autoriser la pratique commerciale. Choquée à l'idée que "la technologie puisse mettre au monde des enfants", Puja hésita. Avait-elle le droit de refuser ? Lourdement endetté, le couple pouvait difficilement renoncer aux 2 500 euros offerts par la clinique. Invoquant le mythe du conte épique indien Ramayana, Rajesh rappela à sa femme ses devoirs : "Lorsque le dieu Rama a dû se réfugier, seul, dans la forêt, pendant quatorze ans, Sita a bravé tous les dangers pour le rejoindre et remplir son devoir d'épouse." Quelques semaines plus tard, Puja et son époux partirent s'installer avec leurs enfants à New Delhi.
La famille occupe désormais un deux-pièces exigu, loué 60 euros par mois, dans la lointaine banlieue de Delhi, où les maisons de brique, construites à la hâte, battent en brèche les derniers remparts de végétation. C'est la première fois que Puja vit loin de son village. A 24 ans, celle qui a déjà accouché de deux enfants portera bientôt l'embryon d'un couple de producteurs de cinéma d'Hollywood. "Le Bollywood des Etats-Unis", s'exclame Rajesh, qui aimerait vaincre les dernières réticences de son épouse. Le couple recevra près de 130 euros par mois de grossesse et 1 000 euros à l'accouchement. Toutes les semaines, ils ont rendez-vous chez le docteur Gupta pour des tests médicaux.
En plein coeur de New Delhi, la clinique se repère facilement grâce à sa pancarte, "Lieu de naissance de la joie", et aux dizaines de sandales entassées au pied de l'escalier. Dans la salle d'attente, les patients, pieds nus, ne quittent pas des yeux la comédie romantique diffusée à la télévision. Ici, les ovules et les spermatozoïdes font l'objet d'une attention particulière. "Vous êtes priés de ne pas utiliser de parfum, ni de lotion après rasage. Ces odeurs sont mauvaises pour les ovules et les spermatozoïdes", avertit une pancarte, placée à côté de Ganesh, dieu de la prospérité.
Le docteur Gupta est un "spécialiste de la fertilité", comme l'indique sa carte de visite. Chaque mois, il reçoit, trente demandes de couples étrangers. "Ici, les femmes ne trompent pas leur mari. Elles ne boivent pas d'alcool, ne fument pas et ne se droguent pas. Elles sont en excellente santé", affirme le docteur. Face à lui, Puja, le visage creusé par les cernes, a les mains crispées sur le tissu bleu de son sari. Elle doit attendre encore quelques semaines avant de recevoir l'embryon du couple américain, le temps de terminer l'allaitement de son dernier enfant, âgé seulement de 8 mois. Le docteur Gupta tente de la rassurer : "Nous avons en Inde les mêmes technologies qu'en Occident et nous sommes aussi compétents."
Après l'informatique, les grossesses se délocalisent en Inde. L'opération, qui peut coûter en Inde jusqu'à 20 000 dollars (13 000 euros environ), est cinq fois moins chère qu'aux Etats-Unis. Des agences se sont même créées dans le but de recruter des mères porteuses. A Anand, une petite ville de l'ouest de l'Inde, une clinique a construit une résidence pour loger, durant leur grossesse, les mères, qui ont la possibilité de suivre des cours d'anglais et d'informatique. Pour porter le bébé d'un couple étranger, rien n'est plus simple. La "clinique de la fertilité", à Bombay, propose sur son site Internet un formulaire de candidature. La postulante doit avoir eu au moins un enfant et répondre à une série de questions, dont celle-ci : "Dans le cas d'une malformation, accepteriez-vous un avortement ?"
Les demandes de couples étrangers auraient quadruplé l'année dernière. En l'absence de régulation, ce nouveau "marché", évalué à 450 millions de dollars (près de 290 millions d'euros), est en pleine croissance. La seule protection juridique à laquelle peut prétendre Puja tient dans les quelques pages de son contrat signé avec le couple américain. L'essentiel concerne le mode de rémunération. En cas d'accident ou de malformation du bébé, les clauses restent allusives. En Inde, les seules directives, données par le Conseil de recherche médicale indien, un organisme public de recherche, sont jugées insuffisantes par les défenseurs des droits des femmes. La section 3.10 recommande, par exemple, que l'âge maximum légal soit fixé à 45 ans. L'âge minimum légal n'est même pas mentionné.
"Et si la mère meurt à la naissance ?", s'interroge Bhavana Kumar, coordinatrice au Conseil national des femmes. "En l'absence de loi, les mères porteuses s'exposent à tous les dangers", conclut-elle. En Inde, la pratique de la maternité par substitution n'est pas nouvelle. "Il arrivait qu'une femme porte l'enfant de sa soeur, stérile. Mais on restait dans le cadre familial. Désormais, le corps peut être exploité commercialement. C'est la porte ouverte à tous les abus", avertit le docteur Girija Viyas, la présidente de la Commission nationale des femmes. Récemment, la commission nationale a recueilli le témoignage d'une femme qui, après avoir accouché sept ou huit fois, aurait rencontré de sérieux problèmes de santé.
Le 25 juin, la ministre indienne des femmes et de la protection de l'enfance, Renuka Chowdhury, a promis le vote d'une loi au cours des dix prochains mois. Il n'est pas question d'interdire la pratique commerciale, mais de mieux la réguler. "Nous ne voulons pas que la maternité par substitution devienne un commerce d'organe, sans entrave. L'Inde en est devenue un pôle d'attraction à bas coût. Nous devons mettre en place un organisme régulateur", a précisé Mme Chowdhury. La loi devrait prévoir notamment un accompagnement psychologique pour la mère au moment de l'accouchement et une limitation du nombre d'accouchements pour autrui. L'âge légal pour une mère porteuse devrait être compris entre 22 et 45 ans.
Même si une loi est votée, les couples étrangers ne seront pas tout à fait protégés, ajoute le docteur Asha Jaipuria, obstétricienne : "Qu'est ce qui peut garantir aux parents que certains de leurs ovules ou spermatozoïdes ne seront pas conservés pour être ensuite revendus à des mères indiennes désirant avoir un bébé au teint clair ?"
Julien Bouissou
http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2008/08/04/les-meres-porteuses-un-creneau-indien_1080048_3216.html
2008-08-01
Caractère ! / temper!
On me dit râleuse, c'est vrai mais c'est ma soupape. En ce moment on dit que je ne souris pas beaucoup mais la fatigue, le stress, la pression et ma situation au boulot font que je suis un peu renfrognée… Je vous rassure je suis loin d’être comme ça à longueur d’année sauf mon côté râleur ! / I’m said to be a grouser, that’s true but it is my “safety” valve. At the moment I’m not smiling often but the tiredness, stress, pressure and my situation make me a little sullen… I reassure you I am far from being like that all the year round except my grouser side!
2008-07-30
Exténuée.... grrrr / so tired... grrrr
Je suis super crevée, non pas par des nuits courtes car le petit dernier ne se réveille presque plus à partir de 00 :30 ou 1 am ouf !... ! mais par la pression / le stress au boulot où il faudrait avoir le pouvoir de se démultiplier pour faire son propre boulot plus celui des collègues en CP. Surtout que l’on me tient le bec dans l’eau avec une embauche définitive que j’attends depuis plus de 1an. J’ai du boulot me direz vous mais c’est en intérim, cette précarité est frustrante aussi ce qui m’agace c’est que j’ai formé une autre intérimaire n’ayant aucune expérience export qui ressent le besoin de s’améliorer en anglais, que sa demande d’être envoyer dans une filiale anglophone du groupe semble bien partie pour être exhaussée gagne 30 % de plus que moi sans avoir eu besoin de négocier c’est vraiment rageant et injuste ! ! ! I am extremely tired, not coz of short nights as the youngest little one no longer not wakes up from 00 30 or 1 am!! But by the pressure / the stress at work where it would be necessary to have the power of multiplying myself to do my own tasks plus my colleagues’ who are on paid leave. Moreover “I’m being held my beak in water” with a definitive hiring for which I’ve been waiting since more of 1 year. I have got a job will you say to me you but it is on temporary basis, this precariousness is frustrating also what annoys me it is that I’ve trained another temporary worker having no experience in export who also feels to improve her English, for whom the request of being sent an English-speaking subsidiary of the group seems on the right way to be heighten earns 30 % more than I do without having needed to negotiate so it is really frustrating & unfair!!!
2008-07-29
Mon avis !
Quand nous avons décidé de nous lancer sur le chemin de l'adoption, après avoir été informés des très très faibles possiblités en France nous n'avons pas hésité à nous orienter vers l'étranger et compte tenu de notre profil de couple franco-indien nous avons choisi l'Inde.
Quand je lis ce qu'envisages de faire le "corps pour la paix de RamaYade = PC2R" je reste très dubitative à moins qu'il y ait du monétaire pour aider les orpheliants des pays d'origines (sans vouloir être médisante/pejorative).
Donc, mon opinion est qu'à l'heure où un grand nombre de pays d'origine légifère et fait des efforts pour développer leur adoption nationale ; en France priorité devrait être donné à améliorer aussi notre adoption nationale. Depuis de nombreuses décennies rien n'ait été envisagé dans cette optique mais comme l'adoption international connaissait un certain "boom", c'était certainement la solution de facilité pour que nos pouvoirs publics n'aient pas bougé plus tôt en faveur de l'adoption nationale !
Source : http://www.liberation.fr/actualite/societe/341723.FR.php
Personne ne sait combien d'enfants sont adoptables en France
Geneviève Miral, de l'association Enfance et famille d'adoption, accueille favorablement les mesures annoncées par Nadine Morano pour faciliter les conditions d'adoption en France.
Propos recueillis par Marie Piquemal
LIBERATION.FR : lundi 28 juillet 2008«S'occuper des enfants délaissés» pour qu'il y ait plus d'enfants adoptables en France. Voilà le nouveau credo de Nadine Morano, la secrétaire d’Etat à la Famille, qui annonce une série de mesures pour faciliter l’adoption en France. L’occasion de faire le point sur la situation actuelle avec Geneviève Miral. Vice-présidente de l’association Enfance et familles d’adoption (EFA), qui regroupe 11.000 familles adoptives ou postulantes, elle reste vigilante sur la mise en application de ces annonces politiques. La secrétaire d’Etat veut un meilleur encadrement des procédures d’agrément en obligeant notamment les parents candidats à l’adoption à suivre au préalable une formation. Qu’en pensez-vous? C’est une très bonne nouvelle. On a travaillé énormément au moment de la mission Colombani, en hiver dernier, pour faire passer ce principe que l’on défend depuis des années. Plus qu’une formation, il s’agit d’une préparation à l’adoption pour aider les futurs parents. La procédure d’agrément a pour objectif de vérifier le désir d’enfant et les capacités éducatives. C’est tout. Or, il est important aussi de préparer les futurs parents à l’accueil d’un enfant qui a déjà un passé et souvent un parcours difficile (passage par un orphelinat, maltraitance…) On a tendance à penser qu’un enfant a seulement besoin d’amour et que par définition, il est hyper-adaptable. En pratique, c’est faux. Il ne peut pas tout apprendre à la fois, il est important de le dire aux parents et de les conseiller avant même d’accueillir l’enfant.Nadine Morano souhaite «augmenter le nombre d’enfants adoptables en France» en modifiant les conditions de déclaration judiciaire d’abandon. Quelle est la situation aujourd’hui? Depuis vingt ans, le nombre d’enfants susceptibles d’être adoptés baisse inexorablement. Il y a plusieurs explications: le recours à l’avortement bien sûr, l’évolution des mentalités aussi. Etre mère célibataire est plus accepté aujourd’hui qu’autrefois. On constate également une évolution dans l’appréciation des cas d’abandon d’enfant. Le juge privilégie toujours le lien biologique. Comme s’il allait de soi qu’un enfant est toujours plus heureux avec ses parents biologiques que dans une famille adoptive… C’est faux! Dans les faits, les procédures sont très longues : cinq ans s’écoulent en moyenne entre le moment où l’enfant est retiré de la garde de ses parents (pour délaissement) et le moment où il est adoptable… Résultat : on se retrouve avec des enfants âgés de huit ou dix ans, un âge où il devient difficile de trouver une famille adoptive. Combien d’enfants sont en situation d’être adoptés en France aujourd’hui ?C’est difficile à croire mais personne ne le sait. On est incapable aujourd’hui en France de chiffrer avec exactitude le nombre d’enfants sous tutelle ! Ils seraient entre 8.000 et 10.000 dans des situations diverses: bébés nés sous x, pupilles de l’Etat ou enfants sous délégation d’autorité parentale. L’adoption en France est gérée au niveau départemental. On demande depuis des années la mise en place d’un service national en mesure de recenser les pupilles de l’Etat. En pratique, il suffirait de quelques personnes détachées et d’un petit budget à hauteur de 200.000 euros. Cela ne demande pas un gros effort mais encore faut-il une volonté politique ! Mais globalement, avec ces mesures annoncées, vous avez le sentiment d’être écoutée, non? L’expérience nous a appris à être prudent. Déjà la loi de 2005 nous promettait un guide des bonnes pratiques des professionnels de l’adoption. On attend toujours ! Ces annonces politiques de Nadine Morano sont positives mais encore faut-il qu’elles soient suivies d’effet. Nous seront extrêmement vigilants dans les prochains mois.
Quand je lis ce qu'envisages de faire le "corps pour la paix de RamaYade = PC2R" je reste très dubitative à moins qu'il y ait du monétaire pour aider les orpheliants des pays d'origines (sans vouloir être médisante/pejorative).
Donc, mon opinion est qu'à l'heure où un grand nombre de pays d'origine légifère et fait des efforts pour développer leur adoption nationale ; en France priorité devrait être donné à améliorer aussi notre adoption nationale. Depuis de nombreuses décennies rien n'ait été envisagé dans cette optique mais comme l'adoption international connaissait un certain "boom", c'était certainement la solution de facilité pour que nos pouvoirs publics n'aient pas bougé plus tôt en faveur de l'adoption nationale !
Source : http://www.liberation.fr/actualite/societe/341723.FR.php
Personne ne sait combien d'enfants sont adoptables en France
Geneviève Miral, de l'association Enfance et famille d'adoption, accueille favorablement les mesures annoncées par Nadine Morano pour faciliter les conditions d'adoption en France.
Propos recueillis par Marie Piquemal
LIBERATION.FR : lundi 28 juillet 2008«S'occuper des enfants délaissés» pour qu'il y ait plus d'enfants adoptables en France. Voilà le nouveau credo de Nadine Morano, la secrétaire d’Etat à la Famille, qui annonce une série de mesures pour faciliter l’adoption en France. L’occasion de faire le point sur la situation actuelle avec Geneviève Miral. Vice-présidente de l’association Enfance et familles d’adoption (EFA), qui regroupe 11.000 familles adoptives ou postulantes, elle reste vigilante sur la mise en application de ces annonces politiques. La secrétaire d’Etat veut un meilleur encadrement des procédures d’agrément en obligeant notamment les parents candidats à l’adoption à suivre au préalable une formation. Qu’en pensez-vous? C’est une très bonne nouvelle. On a travaillé énormément au moment de la mission Colombani, en hiver dernier, pour faire passer ce principe que l’on défend depuis des années. Plus qu’une formation, il s’agit d’une préparation à l’adoption pour aider les futurs parents. La procédure d’agrément a pour objectif de vérifier le désir d’enfant et les capacités éducatives. C’est tout. Or, il est important aussi de préparer les futurs parents à l’accueil d’un enfant qui a déjà un passé et souvent un parcours difficile (passage par un orphelinat, maltraitance…) On a tendance à penser qu’un enfant a seulement besoin d’amour et que par définition, il est hyper-adaptable. En pratique, c’est faux. Il ne peut pas tout apprendre à la fois, il est important de le dire aux parents et de les conseiller avant même d’accueillir l’enfant.Nadine Morano souhaite «augmenter le nombre d’enfants adoptables en France» en modifiant les conditions de déclaration judiciaire d’abandon. Quelle est la situation aujourd’hui? Depuis vingt ans, le nombre d’enfants susceptibles d’être adoptés baisse inexorablement. Il y a plusieurs explications: le recours à l’avortement bien sûr, l’évolution des mentalités aussi. Etre mère célibataire est plus accepté aujourd’hui qu’autrefois. On constate également une évolution dans l’appréciation des cas d’abandon d’enfant. Le juge privilégie toujours le lien biologique. Comme s’il allait de soi qu’un enfant est toujours plus heureux avec ses parents biologiques que dans une famille adoptive… C’est faux! Dans les faits, les procédures sont très longues : cinq ans s’écoulent en moyenne entre le moment où l’enfant est retiré de la garde de ses parents (pour délaissement) et le moment où il est adoptable… Résultat : on se retrouve avec des enfants âgés de huit ou dix ans, un âge où il devient difficile de trouver une famille adoptive. Combien d’enfants sont en situation d’être adoptés en France aujourd’hui ?C’est difficile à croire mais personne ne le sait. On est incapable aujourd’hui en France de chiffrer avec exactitude le nombre d’enfants sous tutelle ! Ils seraient entre 8.000 et 10.000 dans des situations diverses: bébés nés sous x, pupilles de l’Etat ou enfants sous délégation d’autorité parentale. L’adoption en France est gérée au niveau départemental. On demande depuis des années la mise en place d’un service national en mesure de recenser les pupilles de l’Etat. En pratique, il suffirait de quelques personnes détachées et d’un petit budget à hauteur de 200.000 euros. Cela ne demande pas un gros effort mais encore faut-il une volonté politique ! Mais globalement, avec ces mesures annoncées, vous avez le sentiment d’être écoutée, non? L’expérience nous a appris à être prudent. Déjà la loi de 2005 nous promettait un guide des bonnes pratiques des professionnels de l’adoption. On attend toujours ! Ces annonces politiques de Nadine Morano sont positives mais encore faut-il qu’elles soient suivies d’effet. Nous seront extrêmement vigilants dans les prochains mois.
Tourisme local avec Nanda / local sightseeing with Nanda
Visite en voiture à travers Angoulème, tour en voiture au travers de forête domanial de la Braconne, shopping, visite du château d'Otard à Cognac (dégustation de vin, cognac et Pineau), croisière fluviale sur un bout du fleuve "Charente", shopping à Ikea Bordeaux puis tour en voiture à Bordeau même, visite des grottes du Queroy (16), de nouveau visite d'angoulème mais à pieds pour mieux apprecier les fortifications/remparts, les petites rues étroites et pavées et l'architecture romane de notre cathédrale. A venir: journée de shopping, visite d'une fabrique d'une chocolatierie artisanale, peut être de notre musée du papier puis visite de la perle de l'angoumois le Château de la Rochefoucault, et un peu de sightseeing en bus à Paris. / Car ride through Angoulème, car ride through the state-owned forest of Braconne, visit of the castle of Otard in Cognac (tasting of wine, cognac and Pineau), river cruise on the river "Charente", shopping at Ikea Bordeaux then car ride through Bordeaux, visits caves of Queroy ( 16 ), again visit of angoulème but by foot for a better appreciation of the fortifications / ramparts, the narrow and paved lanes and the Romanic architecture of our cathedral. To come: day of shopping in the local "malls", visit of a factory of a craft(home-made) chocolatierie, may be of our local museum of the paper then the visit of the pearl of Angoumois the Castle of Rochefoucault, and little of sightseeing by bus in Paris.
2008-07-21
Zoo & plage / Zoo & beach
Déja parti en promenade en ce dimanche profitant de la clémence du temps -ensoleillé mais pas trop chaud- pour allez au bord de la mer du côté de Royan et visiter le zoo de la palmyre , zoo le plus "populaire en France et l'un des plus réputé d'europe regroupant plus de 1600 animaux sur 14ha au coeur de la forêt de pin en bordure de mer en Charente Maritime. /Already gone on a short car ride on this Sunday taking advantage of the leniency of the weather -sunny but not too hot- to go to to the seaside at Royan and visit the zoo of the palmyre, the most popular zoo in France and one of the most reputed in Europe grouping more than 1600 animals on 14ha in the heart of the forest of pine on sea border in Charente-Maritime.
2008-07-20
18 ans... 2 mois
Eh oui en ce 20 juillet cela fait 18 ans que mon futur et moi-même nous nous rencontrions en chair et en os (nous étions amis de plume depuis 3.5 ans). Notre rencontre a eu lieu à Heathrow - UK à 17h heure locale... / Well on this July 20th it has been 18 years since my future and myself we meet in "flesh and in bone" (we had been "pen" friends for 3.5 years). Our meeting took place at Heathrow-UK at 5 pm local time...
AUSSI, c'était il y a 2 mois de parents de coeurs de notre 2me loupiot nous devenions parents tout court car nous pouvions enfin tenir notre fils dans nos bras ! ! ! / ALSO, it was 2 months ago from parents of heart of our 2me baby we became real parents as finally we could hold our son in our arms!!!
AUSSI, c'était il y a 2 mois de parents de coeurs de notre 2me loupiot nous devenions parents tout court car nous pouvions enfin tenir notre fils dans nos bras ! ! ! / ALSO, it was 2 months ago from parents of heart of our 2me baby we became real parents as finally we could hold our son in our arms!!!
2008-07-19
Tatie Nanda arrive / Nanda Atthya arrives
Ma belle soeur arrive ce soir de Londres par Ryan Air à notre aéroport d'Angoulème-Cognac (à à peine 5 min de chez nous) où la ligne London "stansted" est ouverte depuis le 1er avril 2008. Elle va rester là pendant 2 semaines. Trisha est impatiente de revoir sa tante... / My sister-in-law arrives this evening fromLondon by Ryan Air at our airport of Angoulème-Cognac (hardly 5 min away from our home) where the line London " stansted " is opened since April 1st, 2008. She is going to stay here for 2 weeks. Trisha is impatient to see again her atthya...
2008-07-18
2008-07-17
Et bientôt 2 pour Johnny !
Dans une interview à Paris Match, Johny Hallyday explique qu'il va adopter une petite Joy que Laetitia et lui iront chercher très bientôt au Vietnam.
Après Jade, Johnny Hallyday et Laetitia n'ont jamais caché leur volonté d'agrandir leur famille. Ca sera bientôt chose faite avec l'arrivée de la petite Joy. "Nous avons fait notre demande il y a un an et demi et nous sommes encore dans les démarches administratives. Tout est en règle côté français, nous avons toutes les autorisations, mais pas encore côté vietnamien. Si tout se passe bien, nous espérons pouvoir aller la chercher vers la fin de l'année, au pire début 2009." a déclaré le rockeur au grand coeur dans Paris Match. Espérons pour eux que l'attente ne soit pas trop longue...
En ce début de 21 ème siècle, l'adoption d'enfants par les stars est un phénomène très en vogue dans le monde occidental. Bien qu'elles soient en mesure d'avoir des enfants biologiques, celles-ci n'hésitent pas à adopter un petit être venu de contrées exotiques. C'est Angelina Jolie qui avait ouvert le bal en 2002 avec l'adoption de Maddox, un Cambodgien, alors qu'elle tournait le film "Tomb Raider". Puis elle avait réitéré en juillet 2005 avec Zahara, une Ethiopienne dont la mère était morte du sida.
Entre les adoptions polémiques - celle de Madonna au Malawi en octobre 2006, d'un enfant non-orphelin de père, contre le financement d'un hôpital - et les adoptions plus discrètes, la liste pourrait être longue. Remettons tout de même la palme de l'ancienneté à Lionel Richie, qui avait adopté sa fille Nicole alors qu'elle était âgée de 3 ans. Question prévision, qui veut tenir les paris ? Pourquoi pas une petite Malienne adoptée par le couple Bruni-Sarkozy ?
http://www.liberation.fr/culture/tentations/next/339649.FR.php
Après Jade, Johnny Hallyday et Laetitia n'ont jamais caché leur volonté d'agrandir leur famille. Ca sera bientôt chose faite avec l'arrivée de la petite Joy. "Nous avons fait notre demande il y a un an et demi et nous sommes encore dans les démarches administratives. Tout est en règle côté français, nous avons toutes les autorisations, mais pas encore côté vietnamien. Si tout se passe bien, nous espérons pouvoir aller la chercher vers la fin de l'année, au pire début 2009." a déclaré le rockeur au grand coeur dans Paris Match. Espérons pour eux que l'attente ne soit pas trop longue...
En ce début de 21 ème siècle, l'adoption d'enfants par les stars est un phénomène très en vogue dans le monde occidental. Bien qu'elles soient en mesure d'avoir des enfants biologiques, celles-ci n'hésitent pas à adopter un petit être venu de contrées exotiques. C'est Angelina Jolie qui avait ouvert le bal en 2002 avec l'adoption de Maddox, un Cambodgien, alors qu'elle tournait le film "Tomb Raider". Puis elle avait réitéré en juillet 2005 avec Zahara, une Ethiopienne dont la mère était morte du sida.
Entre les adoptions polémiques - celle de Madonna au Malawi en octobre 2006, d'un enfant non-orphelin de père, contre le financement d'un hôpital - et les adoptions plus discrètes, la liste pourrait être longue. Remettons tout de même la palme de l'ancienneté à Lionel Richie, qui avait adopté sa fille Nicole alors qu'elle était âgée de 3 ans. Question prévision, qui veut tenir les paris ? Pourquoi pas une petite Malienne adoptée par le couple Bruni-Sarkozy ?
http://www.liberation.fr/culture/tentations/next/339649.FR.php
2008-07-16
Mouson / Monsoon
L'arrivée de la mouson est attendu avec impatience par tous en Inde. Le début de cette saison est moment d'amusement et regroupement entre amis notamment et pour ce 1er week end de mouson (Dimanche 7 juin 08)beaucoup se rassemble sur les plages de Bombay pour profiter de ces pluies et des vagues.
ci contre Juhu Beach - Bombay. / The arrival of the monsoons are looked forward by all in India. The beginning of this season is a moment of amusement and get together with friends notably and for this 1st weekend of mouson (on Sunday, June 7th, 08) many get together on the beaches of Bombay to enjoy these rains and waves. Here above Juhu Beach - Mumbai.
2008-07-15
2008-07-10
Trisha et ses oreilles / Trisha's ears
Son infection à son oreille gauche est dûe à un germe posé sur la diabolo/yo-yo qui s'était détaché du tympan (tympan étant cicatrisé) et qui était resté dans le conduit auditif. Donc traitemement antibio pdt 10 jours et on fait le point avec l'ORL en fin de mois, on fera aussi un audiogramme pour voir si son audition s'est améliorée et si la pose d'appareils auditifs est toujours d'actualité !
2008-06-29
C'était le 20 mai08- Rencontre avec notre fils / it was on 20May08: when we met our son
Arrivés à Bombay le 19/05 peu après minuit après qqs heures de someil nous prenons un “cool cab” (=taxi) pour Pune vers 14h. Nous avons RDV le 20 à l’orphelinat mais on ne sais pas à quel heure… dès l’ouverture des bureau à 9 h nous téléphonons pour savoir à quelle heure nous pouvons passer en fait ils nous attendaient… Donc nous sommes arrivés vers 10h30, avant de voir notre fils il nous faut passer par le bureau une des 2 responsables du programme adoption qui nous presente toute la paperasse nous relate un peu la procédure post adoption (suivi) etc… donc vers 11h15 on nous présente notre fils, il était avec sa nounou (foster mother) dans une petite salle où il y avait un petit « canapé » une chaise et des jouets réservés à l’approche parents adoptifs et enfants… Sa nounou est partie très rapidement car elle a une autre petite fille en « foster care » chez elle et on voyait bien qu’il y avait une petite larme à l’œil. Bien sur quand elle est partie il a pleuré, je l’ai pris dans mes bras et au bout de 5 min il s’est calmé. Nous avons joué avec lui et vers 11h45 comme il recommencait bcs à pleurer nous avons pensé qu’il devait avoir faim, nous sommes descendu à la cantine mais il a très peu pris mais il avait soif… 1/2h après les autres enfants de l’institution sont venu pour manger donc nous sommes rester 5min et nous sommes descendu dans la cour pour que Trisha s’amuse aux jeux de plein air et pour distraire Rohan du brouhaha de la cantine, il ne pleurait plus et il s’est vite endormi sur mon épaule. Vers 13h15 nous sommes remonté dans le bureau de la responsable mais elle était parti déjeuner donc nous avons posé Rohan sur la petit canapé de la salle où nous il nous attendait le matin afin qu’il soit plus confortable. La responsable est arrivé vers 13h45 et comme une petite cérémonie d’au revoir est toujours organisée au départ d’un enfant nous avons attendu qu’il se réveille et vers 14h15 se fut fait, déjà Rohan montrait une préférence à être dans mes bras ; ensuite la responsable nous a présenté tout le personnel de l’orphelinat (à chaque étage) et nous sommes parti vers 14h45. à peine 10 min plus tard nous arrivions chez mes beaux-parents mais là il y avait bcq de monde donc il a pleuré je l’ai rapidement consolé et il s’est endormi, à son réveil vers 17h il a recommencé à pleurer mais une fois dans mes bras ça allait mieux, il ne voulait aller dans les bras de personne à part les miens, après un petit temps je l’ai posé sur un tapis dans la salle à manger afin qu’il commence à s’amuser avec sa sœur qui était impatiente de jouer avec lui et en fait ça s’est très bien passé. Après son diner il a commencé à montrer un intérêt envers Aji = mami. Dès le lendemain il commencait a accepter d’être dans les bras de ses cousines (toutes ados) et il lui a bien fallu 4 jours avant accepter d’être dans les bras de son papa puis des autres hommes de la famille (c-a-d Aba = papi et Raja Kaka = tonton Raja). Caractère de notre petit prince : jovial, social, affectueux, charmeur, un tantinet téméraire et très têtu… /
Arrived at Bombay 19/05 after midnight after a few hours of sleep by 2pm we took the " cool cab " (= taxi ) for Pune. We had appointement on 20th at the orphanage but as we didn’t know at what time, when office opened we phoned and actually they were already waiting for us… Thus we arrived at by 10:30 am, before meeting our son we had to meet one of the 2 person in charge of adoptions, she shows us each and every paper of the final dossier with what had to be signed and told us about the post adoption procedure (follow up…) etc. thus by 11:15 am our son has been introduced to us, he was with his nanny (foster mother) in a small room where there was a small "sofa" a chair and toys reserved for the approach of adoptive parents and child(ren).
His(Her) nanny left very quickly because she has another girl in " care foster " and we could see a small tear in the eye. Indeed on when she left he cried, I took him in my arms and after 5 min he(it) calmed down. We played with him and by 11:45 am as he started crying again loudly we thought that he was hungry, we came down to the canteen but he hardly ate but he was very thirsty… 1/2h Later the other children of the institution came to eat thus we stayed for 5min and then we came down in the court(yard) so that Trisha could enjoy herself in the outdoor games and to distract Rohan from the hubbub of the canteen, he did not cry any more and he fast felt asleep on my shoulder. By 1:15 pm we went back up in the office of the person in charge but she had left for lunch thus we put Rohan on small sofa of the room we he was waited for us in the morning so that he could be more comfortable. The person in charge arrived at about 1:45 pm and as a small ceremony of goodbye is always organized from a child so we waited a bit till he got up and by 2:15 pm had been done, already Rohan showed a preference to be in my arms; then the person in charge introduced all the staff of the orphanage to us us all the staff and we left by 2:45 pm. Hardly 10 min later we arrived to my parents-in-law’s home but there were too many people so he cried but I quickly consoled him and he felt asleep, when he got up by 5pm he started crying again but once in my arms that went better, he refused to go anyone’s arms except mine, after some time I put him on a carpet in the dining room so that he could begin playing with his sister who was impatient to play with him and went perfectly fined between them. After diner he began to show an interest to Aji = grand-ma. From the next day he accepted to go to his cousines’ arms (all teens) but he needed nearly 3-4 days to accept going to his dad’s arm and other men of the family (aba= grand-pa and raja kaka = uncle Raja).
Character of our small prince: cheerful, social, affectionate, charming,… and very stubborn…
Arrived at Bombay 19/05 after midnight after a few hours of sleep by 2pm we took the " cool cab " (= taxi ) for Pune. We had appointement on 20th at the orphanage but as we didn’t know at what time, when office opened we phoned and actually they were already waiting for us… Thus we arrived at by 10:30 am, before meeting our son we had to meet one of the 2 person in charge of adoptions, she shows us each and every paper of the final dossier with what had to be signed and told us about the post adoption procedure (follow up…) etc. thus by 11:15 am our son has been introduced to us, he was with his nanny (foster mother) in a small room where there was a small "sofa" a chair and toys reserved for the approach of adoptive parents and child(ren).
His(Her) nanny left very quickly because she has another girl in " care foster " and we could see a small tear in the eye. Indeed on when she left he cried, I took him in my arms and after 5 min he(it) calmed down. We played with him and by 11:45 am as he started crying again loudly we thought that he was hungry, we came down to the canteen but he hardly ate but he was very thirsty… 1/2h Later the other children of the institution came to eat thus we stayed for 5min and then we came down in the court(yard) so that Trisha could enjoy herself in the outdoor games and to distract Rohan from the hubbub of the canteen, he did not cry any more and he fast felt asleep on my shoulder. By 1:15 pm we went back up in the office of the person in charge but she had left for lunch thus we put Rohan on small sofa of the room we he was waited for us in the morning so that he could be more comfortable. The person in charge arrived at about 1:45 pm and as a small ceremony of goodbye is always organized from a child so we waited a bit till he got up and by 2:15 pm had been done, already Rohan showed a preference to be in my arms; then the person in charge introduced all the staff of the orphanage to us us all the staff and we left by 2:45 pm. Hardly 10 min later we arrived to my parents-in-law’s home but there were too many people so he cried but I quickly consoled him and he felt asleep, when he got up by 5pm he started crying again but once in my arms that went better, he refused to go anyone’s arms except mine, after some time I put him on a carpet in the dining room so that he could begin playing with his sister who was impatient to play with him and went perfectly fined between them. After diner he began to show an interest to Aji = grand-ma. From the next day he accepted to go to his cousines’ arms (all teens) but he needed nearly 3-4 days to accept going to his dad’s arm and other men of the family (aba= grand-pa and raja kaka = uncle Raja).
Character of our small prince: cheerful, social, affectionate, charming,… and very stubborn…
Photo prise début Mai 08 pour la demande de visa / pix taken early May08 for the visa application
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-06-28
De retour / we are back
Ca y est nous sommes de retour en France, dès que j'ai un petit moment je viendrai relater les différentes étapes de la procédure en Inde et de nos premiers jours avec notre petit prince charmant ! ! ! / We are back in France, as soon as I have a bit more free time I'll tell the different steps of the procedure in India and the first few days with or prince charming!!!
2008-06-25
Merci / thanks
Milles merci à tous ceux / toutes celles qui sont venus faire une petite visite sur mon blog pendant mon abs. Cela m'a fait plaisir / Many thanks to all those who came to visit my blog during my stay in India.
Trisha
Notre princesse n'a pas eu de chance pendant notre séjour car elle a été malade... otite purulente oreille gauche (étonnant avec des diabolos/ yo-yo) suivi d'une inflammation des agmydales avec poussées de fièvre à 40°C et apparement aujourd'hui qqs heures avant notre retour il y a un écoulement à l'oreille droite qui pour l'instant ne sent pas mais cela ne peut pas être de cire avec un écoulement aussi important. Des notre arrivée nous contacteront l'ORL qui la suit en France. / Our little princess was not very lucky during her stay as she has been sick... otitis with pus at the left ear followed by acute tonsilitis with high fever 40°C and apparently today just a few hours before our departure there's something licking from her right ear, so much can't be wax. As soon as we arrive in France we'll contact the specialist who follows for her ears to get an urgent appointement to be fixed.
anniversaire de Rohan / Rohan's birthday
Hier c'était le 1er anniversaire de notre petit prince charmant... Pas eu le temps de concocter un petit gâteau pour lui car occupé avec les dernières "démarches" à l'ambassade donc un délicieux gateau au chocolat a été acheté à cette occasion et coupé et un p'ti bout dégusté avant de sortir au resto, cela c'est passé chez ma belle soeur à Mumbai, le 22 juin nous l'avions fêté en toute simplicité avec mes beaux-parents. Yesterday was our prince charming's 1st b'day, as due to the last "meetings" at the embassy a yummy chocolate cake had been bought on this occasion and it has been cut and a bot of it tasted before going to the restaurant, it was at my sister in law's place in Mumbai, on 22nd June we had celebrated it with my parents in law.
Visa ok
De retour à Bombay le 22 juin... Visa remis lundi 23 juin et surlegalisations par l ambassade de france remises le 24 juin... franchement la nouvelle personne deleguee pour gerer les legalisations et visas adoption est loin d etre un exemple d efficacite, de froideur et il est d une lenteur agacante, il lui a fallu presque 2 semaines pour tout faire alors que pour notre princesse tout a ete fait en 3 jours... en plus nous n avons meme pas ete recus dans un bureau, tout nous a ete remis dans le coin "salle d attente du consulat"... mais enfin tout est fait juste a temps avant notre depart dans qqs heures maintenant !!! Dans les jours qui viennent je ferai un petit topo sur la procédure locale pour ceux que cela pourrait interesser ! ! !
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-06-14
On retourne a Pune / we go back to Pune
Nous espérions que le visa aurait été émis cette semaine, en vain alors nous repartons à Pune chez mes beaux-parents. / We were hoping that the visa would have been issued this week but this guy is really taking his time so we go back to Pune at my in laws' home.
2008-06-09
Legalisations des docs
Donc depuis le 20 mai notre petit prince est avec nous, il s est res vite habitue a nous, notre princesse est ravie d avoir un frere et ca se passe bien entre eux. En resume la procedure locale jusqu a emission du passeport a ete relativement rapide (a peine 4 mois). A Bombay depuis hier apres midi car aujourd hui il faut faire surlegaliser le jugement, l acte d abandon et la declararation de naissance avant de faire la demande de visa/Our little prince have been with us since 20th May, he got used to us very quickly, our princess is very happy to have a little brother and everything goes fine between them. Local procedure was quite fast (hardly 4 months). In Mumbai since yesterday as today we have to have our documents (judgement, abandonment affidavit, birth affidavit...)legalised before applying for th visa.
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-05-24
On est en Inde / we are in india
Depuis le 19 mai 00:15 nous sommes en Inde et depuis le 20 mais notre fils est avec nous / landed in mumbai on 19th may 12:15 am et we met our son on 20th and is with us!
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-05-16
Ordonnance du tribunal / court written order
Ca y est l'orphelinat a reçu l'ordonnance du tribunal ce jour, prochaine étape émission du passeport / Today, at the orphanage, they received the written order from the court, next step passport.
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-05-12
attente de l'ordonnance/waiting for court written order
Le juge a dit OK donc nous attendons l'ordonnance "légalisée" / oral granted now just waiting for court written order.
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-05-08
Grrrr... pourquoi pas de retour d'info /why no feedback
A Pune – Inde au tribunal il y a 3 audiences pour rendre le jugement. La 1ère était le 8/04 mais le 9/04 notre OAA a immédiatement été informé de son report au 18/04. Tout début mai, n’ayant pas de retour de l’orphelinat via notre OAA nous avons voulu savoir où cela en était et on nous a fait savoir que la 3me et dernière audience était le 6/05, avant-hier mais on n’a toujours aucun retour de l’orphelinat savoir si cette dernière a été éventuellement reportée, si le juge a rendu son « verdict » !!! Cela est connu à l'issue de l'audience alors pourquoi tarde t-il tant à nous faire connaître le résultat ?!? / In Pune - India in the court there are 3 hearings to get adoption judgement. The 1st one was on 8/04 but on 9/04 our agency has been informed it was postponed to 18/04. At beginning of May, without any news we wanted to know and through our agency we've been told that the 3rd and final hearing was on 6th May, the day before yesterday but we still have no feedback from the orphanage to know if this last one would be possibly postponed, if the judge has given his "decision"!!! This is known at the end of the hearing then why taking so long to let us know the result?!?
2008-05-04
2008-05-01
Y'en a marre / fed up
Marre, marre, marre de ce temps pourri / really fed of this ugly weather.
En dépit de cela joyeux 1er mai et que ce petit brin de muguet apporte du bonheur à toute notre famille, amis et connaissances. / In spite of that happy 1st May and may this small sprig of lily-of-the-valley brings happiness to all our family, friends and acquaintances...
2008-04-28
Objectif mère...
Ci-dessous article paru dans libération.fr
Objectif mère
Guillemette Faure. Cette journaliste de 41 ans refuse de subordonner son désir de maternité aux atermoiements masculins. Son attitude, originale en France, détonne.
Chez elle, il n’y a pas encore de chambre de bébé. Pas de jouets emballés, pas de doudou qui attende un destinataire. D’ailleurs, il faudrait qu’elle déménage. Pour plus grand. Elle n’est pas enceinte. Et elle est toujours célibataire. Mais c’est une femme habitée par un désir d’enfant à l’heure du tic-tac de l’horloge biologique. Comme beaucoup. Sauf qu’elle en parle sans complexes, en bousculant les certitudes et les prudences de la société française. Il y a peu, Guillemette Faure a réalisé qu’elle préférait un enfant sans mec qu’un mec sans enfant. A l’aube de ses 40 ans, elle s’est lancée : elle ferait un bébé toute seule. Pour l’instant, elle a accouché d’un livre.
Guillemette a vécu douze ans à New York où elle était journaliste. Une ville sans vieux, sans enfants, où les couples ne durent pas et où les célibataires sont à la fête. «C’est facile d’y vivre sans se rendre compte qu’on n’est pas dans la norme, et sans véritable manque, dit-elle. S’il n’y avait pas les anniversaires, j’aurais pu rester longtemps comme ça. Et puis tout d’un coup, on se dit : "Oh! lala! je n’ai pas encore d’enfant. Si j’en veux, ça va être serré".»
Guillemette pensait que la maternité était une étape naturelle «entre le bac et les cheveux blancs». «Avant de réaliser à 35, 36 ou 38 ans qu’on a tout simplement oublié d’avoir des enfants», écrit elle. Dans ce cas, il vaut mieux habiter dans l’East Village à New York où «l’adoption en "single" est possible, où les enfants des couples gays font peu de vagues», plutôt qu’en France où le «regard est plus conservateur sur la famille, qu’on imagine toujours façon Ricoré».
Aux Etats-Unis, Guillemette a parlé de son projet avec ses copains plus facilement qu’elle ne s’est confiée à ses amis français. Elle s’est inscrite dans un groupe de parole et d’entraide, «Single Mothers by Choice» (mères célibataires par choix) où chacune porte une étiquette : thinkers (celles qui y pensent), tryers (celles qui essayent), etc. Quand elle a débarqué, qu’a-t-elle vu ? «Pas des décérébrées de 20 ans, pas des femmes très âgées, des filles de 35-40 ans.» Des filles comme elle, quoi. Pas d’ambitieuses wonderwomen avides de monter en grade plutôt que de grimper aux rideaux.
Guillemette aime les voyages, les livres de cuisine, le jogging (elle a couru quatre fois le marathon de New York). Elle se vante plus facilement d’avoir dormi dans 48 des 50 Etats d’Amérique que d’avoir sorti un scoop fracassant. Définitivement plus papillon que talons aiguilles. En France, son désir d’avoir un enfant seule a soulevé pas mal de «réprobation morale». On lui a dit que c’était une manière de «se foutre des pères». Et que son comportement était «égoïste». Elle s’énerve :«Faut relativiser, ceux qui font un enfant en couple, ce n’est pas non plus pour sauver le monde.» Pas faux. Et pour que ce soit bien clair, elle ajoute, avec un regard franc : «Je ne demande pas la permission.»
Aux Etats-Unis, Guillemette a bénéficié de cet avantage : la procréation assistée (relevant du secteur privé) n’est «pas seulement une réponse médicale à une demande médicale».En France, au contraire, l’insémination est réservée aux couples (hétérosexuels) confrontés à des problèmes d’infertilité.
Guillemette n’a pas toujours été célibataire. Mais son dernier fiancé, américain, ne voulait pas d’enfant. «Quand il envisageait son avenir, il se voyait plutôt aller à vélo de la Turquie au Vietnam. Du coup, j’avais du mal à prendre notre couple au sérieux», explique-t-elle. Ils se sont séparés quand elle avait 35 ans. Le type est parti trois ans à Bagdad.
A New York, elle cherche d’abord un «KD» (known donor, donneur identifié). Pourquoi pas Pierre, un copain qu’elle héberge alors ? Un soir, elle se sert une vodka-cranberry et se lance. «Je lui ai demandé s’il voyait un inconvénient à me faire un enfant comme je lui aurais demandé de m’aider à remettre la chaîne d’un vélo», raconte-t-elle sans pathos. Refus. «J’aurais fait pareil», avoue-t-elle aujourd’hui. A Paris, elle entend de délicieux conseils d’amis. Genre : «Mais pourquoi tu ne te trouves pas un bon gars ?» «Comme si c’était un poste à pourvoir», souffle-t-elle. Un médecin évoque la possibilité «de se faire sauter au Club Med». Elle s’étonne : «Comme si, moralement, c’était plus glorieux de rouler quelqu’un dans la farine.» Guillemette a le pragmatisme des Américains. «Si on cherche un donneur, mieux vaut des gens qui signent des contrats pour cela.»
A Manhattan, elle se décide pour une banque de sperme, «à trois minutes à vélo» de chez elle. Elle s’attend à un entretien avec un médecin ou avec un psychologue. La seule question vient de la standardiste : «Quel donneur voulez-vous?» Guillemette consulte le catalogue. On y trouve la race, la couleur des cheveux, des yeux, la taille, mais aussi les diplômes et si le don a déjà donné lieu à une grossesse. «Ça peut sembler grotesque mais il faut quand même se décider sur un critère, c’est difficile de faire comme si on n’avait pas les infos.» Elle a «mauvaise conscience de choisir», mais opte pour le numéro 305. «Dans ses quelques lignes de présentation, il écrivait qu’il fumait des pétards. Je me suis dit : "Au moins, celui-là, il est honnête".» Elle revient le jour de son ovulation. Cela lui coûte 500 dollars (320 euros). Certaine que ça va marcher, elle se sent «comme un bibelot en porcelaine» dans le taxi qui la ramène. Elle se retient d’éternuer, ne boit plus une goutte d’alcool pendant un mois. Puis recommence le cycle d’après. Quatre, cinq fois. Elle est discrète sur les échecs. Rien n’est lacrymal dans son récit. On devine les déceptions. Elle préfère dire qu’«entre stimulation hormonale et surveillance du calendrier, c’est présent à l’esprit, tout le temps». Avoue juste qu’il est «difficile» de décider quand s’arrêter. Elle a même fait une FIV (fécondation in vitro) en Belgique avant de s’installer à Paris. «Comme ça, j’ai fait tout ce que j’ai pu.»
Après ces essais infructueux, elle a engagé une procédure d’adoption. Elle vient d’obtenir l’agrément. C’est même exactement pour ça qu’elle a quitté New York, car c’est en France qu’elle s’imagine élever un enfant. Même si, d’ici, elle continue de se passionner pour les primaires, et pour son favori, Obama. Ses parents étaient au courant de sa demande d’adoption en solo. Mais elle ne s’est pas étendue sur l’intégralité de ses démarches alors qu’ils sont très liés. La famille a vécu en banlieue parisienne, à Detroit, dans les Vosges, à Chartres, pour suivre un père ingénieur chez Chrysler. Ils étaient trois enfants. Elle parle avec nostalgie des voyages dans la camionnette «jaune citron et vert bouteille» . Elle n’a «jamais passé un seul jour en colo». Ses parents ont huit et dix frères et sœurs. Imaginez les étés pleins de mômes. «J’ai adoré ça. C’est là qu’on apprend que rien n’est linéaire. Qu’il y a les gays, les divorcés, les remariés. On ne peut pas se fier aux apparences, ça rend vachement indulgent.»
Elle parle longuement, sans s’arrêter. Elle a réfléchi à tout. Seul moment de trouble et de silence : quand on lui demande si elle imagine que, peut-être, elle n’aura pas d’enfant. Réponse : «Non.»
http://www.liberation.fr/transversales/portraits/323281.FR.php
Objectif mère
Guillemette Faure. Cette journaliste de 41 ans refuse de subordonner son désir de maternité aux atermoiements masculins. Son attitude, originale en France, détonne.
Chez elle, il n’y a pas encore de chambre de bébé. Pas de jouets emballés, pas de doudou qui attende un destinataire. D’ailleurs, il faudrait qu’elle déménage. Pour plus grand. Elle n’est pas enceinte. Et elle est toujours célibataire. Mais c’est une femme habitée par un désir d’enfant à l’heure du tic-tac de l’horloge biologique. Comme beaucoup. Sauf qu’elle en parle sans complexes, en bousculant les certitudes et les prudences de la société française. Il y a peu, Guillemette Faure a réalisé qu’elle préférait un enfant sans mec qu’un mec sans enfant. A l’aube de ses 40 ans, elle s’est lancée : elle ferait un bébé toute seule. Pour l’instant, elle a accouché d’un livre.
Guillemette a vécu douze ans à New York où elle était journaliste. Une ville sans vieux, sans enfants, où les couples ne durent pas et où les célibataires sont à la fête. «C’est facile d’y vivre sans se rendre compte qu’on n’est pas dans la norme, et sans véritable manque, dit-elle. S’il n’y avait pas les anniversaires, j’aurais pu rester longtemps comme ça. Et puis tout d’un coup, on se dit : "Oh! lala! je n’ai pas encore d’enfant. Si j’en veux, ça va être serré".»
Guillemette pensait que la maternité était une étape naturelle «entre le bac et les cheveux blancs». «Avant de réaliser à 35, 36 ou 38 ans qu’on a tout simplement oublié d’avoir des enfants», écrit elle. Dans ce cas, il vaut mieux habiter dans l’East Village à New York où «l’adoption en "single" est possible, où les enfants des couples gays font peu de vagues», plutôt qu’en France où le «regard est plus conservateur sur la famille, qu’on imagine toujours façon Ricoré».
Aux Etats-Unis, Guillemette a parlé de son projet avec ses copains plus facilement qu’elle ne s’est confiée à ses amis français. Elle s’est inscrite dans un groupe de parole et d’entraide, «Single Mothers by Choice» (mères célibataires par choix) où chacune porte une étiquette : thinkers (celles qui y pensent), tryers (celles qui essayent), etc. Quand elle a débarqué, qu’a-t-elle vu ? «Pas des décérébrées de 20 ans, pas des femmes très âgées, des filles de 35-40 ans.» Des filles comme elle, quoi. Pas d’ambitieuses wonderwomen avides de monter en grade plutôt que de grimper aux rideaux.
Guillemette aime les voyages, les livres de cuisine, le jogging (elle a couru quatre fois le marathon de New York). Elle se vante plus facilement d’avoir dormi dans 48 des 50 Etats d’Amérique que d’avoir sorti un scoop fracassant. Définitivement plus papillon que talons aiguilles. En France, son désir d’avoir un enfant seule a soulevé pas mal de «réprobation morale». On lui a dit que c’était une manière de «se foutre des pères». Et que son comportement était «égoïste». Elle s’énerve :«Faut relativiser, ceux qui font un enfant en couple, ce n’est pas non plus pour sauver le monde.» Pas faux. Et pour que ce soit bien clair, elle ajoute, avec un regard franc : «Je ne demande pas la permission.»
Aux Etats-Unis, Guillemette a bénéficié de cet avantage : la procréation assistée (relevant du secteur privé) n’est «pas seulement une réponse médicale à une demande médicale».En France, au contraire, l’insémination est réservée aux couples (hétérosexuels) confrontés à des problèmes d’infertilité.
Guillemette n’a pas toujours été célibataire. Mais son dernier fiancé, américain, ne voulait pas d’enfant. «Quand il envisageait son avenir, il se voyait plutôt aller à vélo de la Turquie au Vietnam. Du coup, j’avais du mal à prendre notre couple au sérieux», explique-t-elle. Ils se sont séparés quand elle avait 35 ans. Le type est parti trois ans à Bagdad.
A New York, elle cherche d’abord un «KD» (known donor, donneur identifié). Pourquoi pas Pierre, un copain qu’elle héberge alors ? Un soir, elle se sert une vodka-cranberry et se lance. «Je lui ai demandé s’il voyait un inconvénient à me faire un enfant comme je lui aurais demandé de m’aider à remettre la chaîne d’un vélo», raconte-t-elle sans pathos. Refus. «J’aurais fait pareil», avoue-t-elle aujourd’hui. A Paris, elle entend de délicieux conseils d’amis. Genre : «Mais pourquoi tu ne te trouves pas un bon gars ?» «Comme si c’était un poste à pourvoir», souffle-t-elle. Un médecin évoque la possibilité «de se faire sauter au Club Med». Elle s’étonne : «Comme si, moralement, c’était plus glorieux de rouler quelqu’un dans la farine.» Guillemette a le pragmatisme des Américains. «Si on cherche un donneur, mieux vaut des gens qui signent des contrats pour cela.»
A Manhattan, elle se décide pour une banque de sperme, «à trois minutes à vélo» de chez elle. Elle s’attend à un entretien avec un médecin ou avec un psychologue. La seule question vient de la standardiste : «Quel donneur voulez-vous?» Guillemette consulte le catalogue. On y trouve la race, la couleur des cheveux, des yeux, la taille, mais aussi les diplômes et si le don a déjà donné lieu à une grossesse. «Ça peut sembler grotesque mais il faut quand même se décider sur un critère, c’est difficile de faire comme si on n’avait pas les infos.» Elle a «mauvaise conscience de choisir», mais opte pour le numéro 305. «Dans ses quelques lignes de présentation, il écrivait qu’il fumait des pétards. Je me suis dit : "Au moins, celui-là, il est honnête".» Elle revient le jour de son ovulation. Cela lui coûte 500 dollars (320 euros). Certaine que ça va marcher, elle se sent «comme un bibelot en porcelaine» dans le taxi qui la ramène. Elle se retient d’éternuer, ne boit plus une goutte d’alcool pendant un mois. Puis recommence le cycle d’après. Quatre, cinq fois. Elle est discrète sur les échecs. Rien n’est lacrymal dans son récit. On devine les déceptions. Elle préfère dire qu’«entre stimulation hormonale et surveillance du calendrier, c’est présent à l’esprit, tout le temps». Avoue juste qu’il est «difficile» de décider quand s’arrêter. Elle a même fait une FIV (fécondation in vitro) en Belgique avant de s’installer à Paris. «Comme ça, j’ai fait tout ce que j’ai pu.»
Après ces essais infructueux, elle a engagé une procédure d’adoption. Elle vient d’obtenir l’agrément. C’est même exactement pour ça qu’elle a quitté New York, car c’est en France qu’elle s’imagine élever un enfant. Même si, d’ici, elle continue de se passionner pour les primaires, et pour son favori, Obama. Ses parents étaient au courant de sa demande d’adoption en solo. Mais elle ne s’est pas étendue sur l’intégralité de ses démarches alors qu’ils sont très liés. La famille a vécu en banlieue parisienne, à Detroit, dans les Vosges, à Chartres, pour suivre un père ingénieur chez Chrysler. Ils étaient trois enfants. Elle parle avec nostalgie des voyages dans la camionnette «jaune citron et vert bouteille» . Elle n’a «jamais passé un seul jour en colo». Ses parents ont huit et dix frères et sœurs. Imaginez les étés pleins de mômes. «J’ai adoré ça. C’est là qu’on apprend que rien n’est linéaire. Qu’il y a les gays, les divorcés, les remariés. On ne peut pas se fier aux apparences, ça rend vachement indulgent.»
Elle parle longuement, sans s’arrêter. Elle a réfléchi à tout. Seul moment de trouble et de silence : quand on lui demande si elle imagine que, peut-être, elle n’aura pas d’enfant. Réponse : «Non.»
http://www.liberation.fr/transversales/portraits/323281.FR.php
2008-04-27
Jour J / D-Day
Eh oui je me prends une année de plus, il y a 38 ans je voyais le jour. Les 40 ne sont pas loin ! ! ! / Well today is my B'day, I'm 38 yrs old and the 40th is not so far now !!!
2008-04-25
2008-04-21
Tout est réservé / everything is booked
Billets d'avion réservés, billets train réservés et mon visa reçu ! Nous sommes à J-26 de notre départ et J-28 ou 29 du jour où nous pourrons tenir notre filston Rohan Siddhant dans nos bras... / plane tickets booked, train tickets booked and my visa received! countdown: D-26 before our departure and D-28 or 29 before we could hold our baby boy Rohan Siddhant in our arms...
Libellés / key words
Adc Rohan Siddhant,
Adoption Inde/adoption in India
2008-04-19
Ouf ! / relief!
L'angoisse des ses derniers s'est levée, mon cher et tendre n'a rien de grave mais les symptomes et les mots du spécialiste étaient eux affreusement inquiétants ! ! ! /
The fear of these last days is gone, my hubby has nothing though the symptomes and the words said by the specialist MD they were very disturbing.
The fear of these last days is gone, my hubby has nothing though the symptomes and the words said by the specialist MD they were very disturbing.
2008-04-15
Inquietudes / worries
Depuis environ 10 jours une inquiétude d'ordre de santé nous tracasse (concernant mon cher et tendre) nous en saurons un petit peu plus demain... / For the pas 10 days we are worried about a health trouble (regarding my hubby), we'll know about that tomorrow...
2008-04-10
base de données du CARA / CARA's database
La CARA semble avoir achevé le logiciel consacré aux agences d'adoption des zones Nord et Sud et les zones restantes cela seront faites courant Avril. On s'attend au lancement de ce logiciel (base de données en ligne) pour Mai / juin. Tout d'abord, la base de données couvrira toutes les Registered Indian Placement Agencies (RIPA) et les Shishu Greh . Plus tard, les organismes d’état accrédités appelés Licensed Adoption Placement Agencies (LAPA's) seront ajoutés. / It seems that CARA has completed the software orientation to the adoption agencies of North and South zones and the remaining zones may be done in the month of April. Launching of this software (online database) is expected to be in the month May/ June. To begin with, the database will cover all the Registered Indian Placement Agencies (RIPA) and Shishu Greh's but later on state approved agencies called Licensed Adoption Placement Agencies (LAPA's) are expected to be added.
2008-04-07
L’AFA critique le rapport Colombani
http://www.lagazette-sante-social.com/actualites/nl_actualites.asp?supportId=128&artId=27621
Laure de Choiseul, directrice de l'Agence française pour l'adoption (AFA) a jugé le 20 mars 2008 le rapport Colombani sur l'adoption, "peu réaliste", "technocratique", "démagogique", et risquant de "déconcerter les pays d'origine des enfants adoptés". La directrice de l'AFA, organisme public créé par la réforme de 2005 et cible de critiques sévères de la part de l'ancien patron du Monde, juge "peu réaliste" de penser qu'"en réorganisant tout, le nombre d'adoptions internationales va progresser. On s'est fait piéger une première fois", dit-elle, avec la "promesse" du gouvernement en 2005 de doubler les adoptions. "Cela avait plombé le débat, on ne sait pas si c'est par démagogie ou méconnaissance que M. Colombani tient ce propos, mais des personnes très autorisées s'accordent à dire qu'on va vers une diminution du nombre d'adoptions internationales". Les propositions de la mission Colombani de recréer une Autorité centrale en ne laissant à l'AFA que son rôle d'opérateur public, aux côtés des OAA (Organismes privés habilités pour l'adoption) ne vont pas dans le sens de la "simplicité", dit-elle. Avec cette réponse "technocratique", "on va de nouveau bouleverser le paysage français de l'adoption, les pays qui commençaient à nous connaître ne comprendront plus rien", dit-elle. "L'AFA va perdre la crédibilité qu'elle commence à acquérir auprès des pays", se défend Mme de Choiseul, qui "réfute" par ailleurs l'application de "quotas" dans les envois de dossiers. "On gère 10.000 dossiers. L'objectif n'est pas de les envoyer pour faire plaisir, mais de répondre aux souhaits des pays ; en Chine, on a envoyé tous les dossiers et il n'y a pas plus d'adoptions". Concernant les agréments, accordés très facilement aujourd'hui au risque de décevoir ensuite les familles, le rapport, estime-t-elle, "ne va pas assez loin" et n'est pas assez "inventif". Il faut, selon elle, donner plus d'importance à la "dimension psychologique et sociale".
Laure de Choiseul, directrice de l'Agence française pour l'adoption (AFA) a jugé le 20 mars 2008 le rapport Colombani sur l'adoption, "peu réaliste", "technocratique", "démagogique", et risquant de "déconcerter les pays d'origine des enfants adoptés". La directrice de l'AFA, organisme public créé par la réforme de 2005 et cible de critiques sévères de la part de l'ancien patron du Monde, juge "peu réaliste" de penser qu'"en réorganisant tout, le nombre d'adoptions internationales va progresser. On s'est fait piéger une première fois", dit-elle, avec la "promesse" du gouvernement en 2005 de doubler les adoptions. "Cela avait plombé le débat, on ne sait pas si c'est par démagogie ou méconnaissance que M. Colombani tient ce propos, mais des personnes très autorisées s'accordent à dire qu'on va vers une diminution du nombre d'adoptions internationales". Les propositions de la mission Colombani de recréer une Autorité centrale en ne laissant à l'AFA que son rôle d'opérateur public, aux côtés des OAA (Organismes privés habilités pour l'adoption) ne vont pas dans le sens de la "simplicité", dit-elle. Avec cette réponse "technocratique", "on va de nouveau bouleverser le paysage français de l'adoption, les pays qui commençaient à nous connaître ne comprendront plus rien", dit-elle. "L'AFA va perdre la crédibilité qu'elle commence à acquérir auprès des pays", se défend Mme de Choiseul, qui "réfute" par ailleurs l'application de "quotas" dans les envois de dossiers. "On gère 10.000 dossiers. L'objectif n'est pas de les envoyer pour faire plaisir, mais de répondre aux souhaits des pays ; en Chine, on a envoyé tous les dossiers et il n'y a pas plus d'adoptions". Concernant les agréments, accordés très facilement aujourd'hui au risque de décevoir ensuite les familles, le rapport, estime-t-elle, "ne va pas assez loin" et n'est pas assez "inventif". Il faut, selon elle, donner plus d'importance à la "dimension psychologique et sociale".
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