2008-01-31

La grande ruée vers l'adoption à Mumbai / Mumbai’s great adoption rush

CONCERNE L'ADOPTION NATIONALE EN INDE / Concerns the domestic adoption in India

http://www.hindustantimes.com/storypage/storypage.aspx?id=007dcf34-feda-4de9-8d21-08afc53f8525

Quand Aarti et Himesh Mehta (noms changés) ont décidé d'adopter après huit longues années sans enfants, ils ne se doutaient pas que l'attente d'un enfant serait plus longue. Après que quelques agences d'adoption leur ait la décevante nouvelle que l'attente serait de 2 ans avant qu'on leur propose un enfant, ils se sont inscrit dans une agence locale où la liste d'attente n'était pas aussi longue. C'était en mai l'année dernière. Mais les Mehtas sont toujours dans l'attente qu'on leur propose un bébé à emmener chez eux."L'enfant serait notre appui; notre raison de vivre. L'attendant est difficile," a dit Himesh, 36 ans. Leur histoire n'est pas inhabituelle. Il y a cinq ans, les agences d'adoption dela ville avaient des difficultés à trouver des familles pour les enfants. Maintenant, la situation est inversée. Il y a presque 500 couples sur les listes d'attente des 14 agences d'adoption agréées, mais moins de 150 enfants qui sont légalement adoptables. Par conséquent, avant de pouvoir rentrer à la maison avec un enfant il peut se passer de 6 à 18 mois. Pour ceux qui sont inscrits dans les agences plus connues comme Shradhanand Mahilashram, Matunga, Vatsalya trust, Kanjur Marg, doivent attendre au moins deux à trois ans. "Désormais plus besoin de promouvoir l'adoption à Mumbai. Tant de parents se présentent pour l'adoption et nous n'avons pas assez d'enfants," a dit l'assistant social chef Vandana Patil du ACA. Ce n'est aucune surprise que Mumbai est maintenant appelé ' le Capital(la Capitale) d'Adoption '. "Il y a eu 400 adoptions à Mumbai l'année dernière," dit Patil. À Bal Asha Trust à Mahalaxmi, il y a eu plus de 100 enquêtes dans les six derniers mois. "Les médias et l'enseignement ont fait que l'adoption est devenu plus populaire. Tant de personnes appellent ou viennent au centre que nous ne pouvons traiter toutes les questions," a dit l'administrateur Sunil Arora. Et, ce ne sont pas seulement des couples ayant échoués dans leurs tentatives pour avoir des enfants biologiques qui veulent adopter. Plus de 25 pour cent de ces couples inscrits dans des agences, voulent adopter simplement parce qu'ils veulent fournir un foyer/famille à un enfant, selon Patil. Maintenant chaque enfant trouve une famille. Ceux qui ne sont pas adoptés par des Indiens ou des familles indiennes vivant à l'étranger, sont facilement acceptés par les étrangers.
/ When Aarti and Himesh Mehta (names changed) decided to adopt after eight long years of childlessness, they didn’t know the wait for a child would be longer. After a few adoption agencies gave them the disappointing news that it could take two years before a child would be available for them, they registered at a local agency where the waiting list of parents wasn’t as long.
That was May last year. But the Mehtas are yet to be shown a baby they can take home.
“The child will be our support; our reason to live. The wait is difficult,” said 36-year-old Himesh.
Theirs is not an unusual story.

Five years ago, adoption agencies in the city were having a hard time finding families for children. Now, it’s the other way round. There are almost 500 couples on the waiting lists of the 14 authorised adoption agencies but less than 150 children who are legally free for adoption.
As a result, it can take anywhere between six months to 1.5 years before you take a child home. Those who register at popular adoption agencies like Shradhanand Mahilashram, Matunga and Vatsalya Trust, Kanjur Marg, have to wait for at least two-three years.
"here’s no need to promote adoption in Mumbai anymore. So many parents are coming forward for adoption that we don’t have enough children,” said senior social worker Vandana Patil of Adoption Coordinating Agency. It’s no surprise that Mumbai is now called the ‘Adoption Capital’. “There were 400 adoptions in Mumbai last year,” said Patil.
At Bal Asha Trust in Mahalaxmi, there were over 100 enquiries in the last six months.
“Media attention and education has made adoption much more popular. So many people call or come to the centre that we can’t handle all queries,” said administrator Sunil Arora.
And, it’s not just couples who have been unsuccessful in having biological children who want to adopt.

Over 25 per cent of those registered with agencies, want to adopt simply because they want to provide a home to a child, according to Patil.
Now every child finds a home. Those who are not adopted by Indians or non-resident Indian families, are readily accepted by foreigners.

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